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Les réunions se multiplient depuis décembre sur l’usage du fonds d’amélioration des conditions de vie au travail, mais les possibilités offertes pour faire usage du budget de
60 649 € (soit environ 110 €/agent) se réduisent.

Rappelons-le, au plus tard le 26/04, les organisations syndicales présentes au Comité Technique d’Eure et Loir auront à voter sur les dépenses chiffrées par l’administration à l’issue d’un recensement auprès de toutes et tous.

Ces dépenses sont ciblées  :

Notre objectif premier est l’équité, c’est à dire un retour vers chacun.e, conforme en cela à l’accord national portant sur la « reconnaissance de l’engagement des agents ».

C’est dans cet ordre d’idée, que nous soutenons une utilisation majoritaire du budget au financement de paniers alimentaires de produits bio et / ou locaux, répondant ainsi à deux critères : l’éco-responsabilité et la responsabilité sociale de la DGFIP. Cette proposition a le mérite de permettre à tous les collègues d’avoir accès, en principe, à des produits de qualité, souvent plus onéreux.

Malgré notre insistance, la Direction Générale, relayée avec conviction au niveau local, a rejeté celle-ci au prétexte fallacieux, qu’elle avait pour conséquence une augmentation du pouvoir d’achat individuel, ce qui n’est pas du tout dans l’esprit du fonds d’amélioration.

Cette position est contraire à la liberté d’usage prônée pour ce budget.

Les 60 € ou 70 € annuels qui reviendraient à chaque collègue, à titre exceptionnel, s’apparenteraient, selon l’administration centrale, à une réelle augmentation de notre pouvoir d’achat ! Ceci en dit long sur la réelle volonté de reconnaître les efforts des uns et des autres et d’améliorer leur quotidien dans les mois à venir.

La DDFIP 28 nous oppose également l’obligation de passer commande auprès de son fournisseur exclusif, l’UGAP, dont la qualité des produits promise sur descriptif se paie au prix fort.

Les représentants des personnels se retrouvent donc pieds et poings liés.

Notre Directeur a insisté à plusieurs reprises sur la nécessité de voter des dépenses allant même au-delà du budget alloué.

Voici les premières pistes :

A ce stade, nous sommes loin du compte, mais soyons lucides, les conditions de vie au travail ne se limitent pas à des aspects budgétaires.

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