Imprimer
Catégorie parente: Actualités

La baisse continuelle des moyens humains et budgétaires met non seulement en danger la Direction Générale des Finances Publiques dans l’exercice de ses missions, mais surtout l'ensemble des personnels du fait de la dégradation des conditions de travail qu'elle génère.

La mise en place du prélèvement à la source au 1er janvier 2019, les restructurations et la poursuite des suppressions d’emplois, alors que la charge de travail ne cesse de s’accroître, viennent ajouter aux difficultés, aux inquiétudes et dysfonctionnements quasi quotidiens que les agent-es subissent et continueront de subir :

Les réponses du Directeur général sont : « mobilisation générale » et « pragmatisme ».

Pour Solidaires Finances Publiques, ces propos sont inacceptables et la situation, insoutenable.

Face à l'état d'urgence, les agent-es des Finances Publiques

                exigent 

                     refusent 

  • des moyens en termes d'emplois pour faire face à la charge de travail en constante augmentation,
  • le respect de leurs droits et garanties,
  • l’arrêt et le bilan de toutes les restructurations,
  • la reconnaissance de leur capacité d’adaptation et de haute technicité.
  •  un service d’accueil au rabais,
  • de ne pas appliquer les textes législatifs et réglementaires,
  • le traitement inéquitable des citoyens devant leur service public,
  • d'être les boucs-émissaires d'une administration malmenée et en souffrance et qualifiée de non prioritaire,
  • une rémunération individualisée dite "au mérite".

 Solidaires Finances Publiques appelle les personnels de la DGFiP à signer massivement cette pétition.

 

 

Pour signer la pétition en ligne :

Cliquez ici