COMMUNIQUE
CSAL du 14 octobre 2025
convoqué à 9h30
Le quorum atteint, le président a ouvert la séance et nous a annoncé qu’il devait quitter l’instance dans le quart d’heure suivant pour assister à une réunion avec le préfet et à un webinaire avec la Direction Générale.
Il a précipité les propos introductifs d’instance et s’est excusé de devoir partir.
En l’absence de désignation d’un président suppléant, les représentants des personnels ont considéré unanimement que l’instance était close.
L’instance nécessitait un dialogue de qualité avec le président et ses adjoints ; le dialogue social doit rester une priorité.
Il nous a consacré un quart d’heure au cours duquel il a tenu à rappeler l’importance des missions de la DGFIP pour l’État, les concitoyens et les services publics.
On ne peut qu’être soulagé d’avoir un directeur conscient de la valeur de nos missions, notre administration et des agentes et agents qui la composent.
Cependant dans les déclinaisons concrètes, il ne met en avant que le budget et l’informatique du COM, et un maillage territorial soi-disant satisfaisant avec une trentaine de points de contact (MFS et centre des finances publiques). Il écoute mais n’entend pas : nous n’avons pourtant eu de cesse de lui rappeler que le service public doit satisfaire les besoins des usagers quelque soit leur lieu de résidence. Pour lui aucune demande n’est insatisfaite, pour nous, un vernis de service public ne remplacera jamais un accueil de qualité digne de ce que peut et doit être la DGFIP.
Avec le grand remue méninge, les ateliers et les conventions, il fait participer les agents au changement et met en avant une démocratie qui semble exonérer la DG de ses responsabilités.