Le taux de grève national pour la journée du 10 septembre s'est élevé à 9,02 % (13,07 % en Meuse).
Après la chute du gouvernement Bayrou, la nomination de Sébastien Lecornu comme premier ministre est un message clair pour la majorité de la population : rien ne changera sur le fond ! Avec ce choix, Emmanuel Macron refuse une nouvelle fois d’entendre la colère sociale qui s’exprime depuis plusieurs semaines.
Le 10 septembre a été une belle première journée où, sur l’ensemble du territoire, par l’action, les blocages, les rassemblements et la grève, de très nombreux et nombreuses salarié·es, précaires, retraités, jeunes ont fait entendre leurs revendications pour que la justice fiscale, sociale et environnementale soit enfin au centre du futur budget 2026.
Le budget 2026 ne doit pas être celui de l’austérité. Pour Solidaires Finances Publiques, il est temps de renforcer les services publics, notamment celui de la DGFiP, pour que nous puissions exercer l’ensemble de nos missions partout sur le territoire. Nous refusons de subir à nouveau ces suppressions de postes qui viennent, années après années, dégrader nos conditions de travail. Nous refusons de payer les conséquences d’un budget d’austérité injuste. Nous exigeons le dégel du point d’indice, le retour de la GIPA, la revalorisation de nos rémunérations, des moyens humains et matériels suffisants pour pouvoir continuer à exercer nos missions de service public dans de meilleures conditions.
Après la chute du gouvernement Bayrou, la nomination de Sébastien Lecornu comme premier ministre est un message clair pour la majorité de la population : rien ne changera sur le fond ! Avec ce choix, Emmanuel Macron refuse une nouvelle fois d’entendre la colère sociale qui s’exprime depuis plusieurs semaines.
Le 10 septembre a été une belle première journée où, sur l’ensemble du territoire, par l’action, les blocages, les rassemblements et la grève, de très nombreux et nombreuses salarié·es, précaires, retraités, jeunes ont fait entendre leurs revendications pour que la justice fiscale, sociale et environnementale soit enfin au centre du futur budget 2026.
Le budget 2026 ne doit pas être celui de l’austérité. Pour Solidaires Finances Publiques, il est temps de renforcer les services publics, notamment celui de la DGFiP, pour que nous puissions exercer l’ensemble de nos missions partout sur le territoire. Nous refusons de subir à nouveau ces suppressions de postes qui viennent, années après années, dégrader nos conditions de travail. Nous refusons de payer les conséquences d’un budget d’austérité injuste. Nous exigeons le dégel du point d’indice, le retour de la GIPA, la revalorisation de nos rémunérations, des moyens humains et matériels suffisants pour pouvoir continuer à exercer nos missions de service public dans de meilleures conditions.
La prochaine journée de grève et de mobilisation est fixée au 18 septembre, à l'appel de l’intersyndicale interprofessionnelle.