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Le 18/12  était convoqué un Comité social d'administration local (CSAL).


Le CSAL a débuté par une déclaration liminaire intersyndicale lue par Solidaires FP, FO et la CFDT/CFTC.
En accord avec la position nationale de ne pas participer aux instances tant que le gouvernement ne serait établi, nous avons donc décidé de ne pas siéger.
Ce que la directrice a déploré car elle estime que nous aurions pu travailler dans nos marges de manœuvre l'ensemble de ce CSAL, en ajoutant que la plupart des mesures ont a priori largement été abandonnées.

Il ne faut pas rêver, la nomination de F.BAYROU n'est que la continuité de la politique macronienne.

Des suppressions de postes, sauf cadeau de noël exceptionnel, il y en aura, en espérant que ce ne soit pas beaucoup plus, la suppression du fonctionnaire étant une position dogmatique de Macron et de tout ce qu'il peut y avoir à sa droite.
Ce à quoi on a répondu qu'a force de dénoncer les problèmes sans qu'ils soient réglés, nous décidons de montrer notre désaccord comme nous le pouvons.

La CGT, qui a lue sa propre déclaration, avait quant à elle décidé de siéger en local et n'a pas pu, faute de quorum. Elle a  néanmoins été  remerciée par la directrice.
Une nouvelle date nous a été proposée dans l'attente de la nomination d'un nouveau gouvernement sans doute éphémère lui aussi.

Quant au programme du CSAL, on ne peut pas dire qu'il nécessitait une convocation et encore moins une reconvocation :

Donc comme vous pouvez le voir, rien d'essentiel, mais on dira que le dialogue social a eu lieu alors qu'il y a d'autres sujets ô combien plus importants qui ne sont pas abordés comme :
- la désorganisation du contrôle fiscal
- les problèmes de communication entre les SGC , les CDL et les collectivités locales 
- les problèmes de TH secondaire, TLV et taxe d'urbanisme
etc