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Liminaire du CSAL du 18 janvier 2024

 

Monsieur le Président,

 

La Direction générale qualifie elle-même d’historique l’évolution de la courbe des emplois.

Une pause dans les suppressions de postes et la « création » de +148 ETP, ne nous ferons pas oublier les 36 000 suppressions depuis 2008, année de création de la DGFIP et de prés de 3 000 fermetures de poste.

 

Avant tout, il faut repartir du PLF 2024 qui prévoit une suppression nette de 200 ETP (initialement - 450 ETP). Ce nouveau coup de rabot sur les emplois n’est justifié à aucun moment, si ce n’est par la réaffirmation que la DGFIP doit, une fois de plus, jouer les bons élèves via une contribution supplémentaire.

 

C’en est une de trop pour la DGFiP, contributaire depuis de trop nombreuses années de la baisse des dépenses publiques.

 

Au niveau de la DDFIP 95, cela se traduit principalement par la suppression de 17 B et 10 C même s’il s’agit en partie de transferts d’emplois, il n’en demeure pas moins que les collègues concernés vont être dans l’obligation de trouver un autre poste.

Par ailleurs, quel est l’accompagnement prévu pour les personnes concernées par ces suppressions d’emplois ?