Actualités

Ci-dessous, la couverture médiatique (OUEST FRANCE pour La Flèche, et le MAINE LIBRE pour Le Mans) de la journée DGFIP d'hier.

Les maires du département ainsi que les conseillers départementaux ou autres élus étaient conviés hier après-midi à l'abbaye de l'Epau par notre directeur à une réunion de "propagande".

Le directeur n'était pas franchement heureux de nous voir, et ne nous a donc pas laissé entrer pour présenter nos arguments. Nous avons néanmoins profité de l'occasion pour délivrer en intersyndicale notre version de la "déconcentration de proximité"...

pdfLire la déclaration intersyndicale remise aux élus.

 

Le CTL du 4 juillet boycotté par l’ensemble des organisations syndicales s’est tenu en seconde convocation ce matin. Nous nous sommes déplacés pour y lire la déclaration liminaire reproduite ci- dessous. En réponse, le Président a contesté la « hâte et la précipitation », et a estimé avoir pris le temps dans la mise en place des restructurations. Finalement, il a semblé très content de son bilan dans notre département faisant preuve d’un auto satisfecit qu’on pourrait qualifier d’assez prononcé...

Il a de nouveau fait la promotion du « réseau de proximité », avec toujours les mêmes éléments de langage : « c’est mieux que l’ASR ! »..., « 20 points de contact c’est mieux qu’aujourd’hui ! »..., « Tout n’est pas figé !!! », « On a du temps pour discuter... » (Environ deux mois : septembre et octobre ! C’est royal !!! ). Bref, en bon politique, il est resté droit dans ses bottes !!!

pdfLire le compte-rendu

Comme prévu, près de 90 agents se sont déplacés ce mercredi matin sur la plage variable 8h30-9h30 pour manifester leur mécontentement face au vaste projet de restructuration envisagé par la DDFIP de la Sarthe. La presse locale était au rendez-vous et a pu constater le degré de mobilisation.

Une délégation d’environ 25 agents hors représentants au CHSCT, issue de tous horizons professionnels est montée en salle des Commissions où devait se tenir le CHSCT. Ils ont pu exprimer physiquement leur consternation et faire part de leur détresse face à ce sinistre plan social qui ne dit pas son nom.

pdfLire le compte-rendu