En mai fais ce qu’il te plaît !
Bien sûr que nous aurions pu éditorialiser :
- sur L’Union Européenne qui n’a d’union que le nom, sur le réarmement qui ne rassure personne,
- sur la dette de la France qui, à force de gonfler, finira bien par éclater,
- sur le multilatéralisme qui fait pschitt,
- sur le capitalisme, les guerres, le pouvoir d’achat, la destruction de la planète,
- et sur tous les ennuis possibles et imaginables.
Mais non, trop c’est trop, et comme le chantait Ouvrard : « Ah, bon Dieu, qu'c'est embêtant d'être toujours patraque... ».