CTL du 20-10-2022 - Déclaration liminaire.pdf
Dans sa déclaration liminaire, Solidaires Finances Publiques a estimé que la question du pouvoir d'achat et des rémunérations restera centrale dans les mois à venir.
La question de la répartition des richesses est primordiale : que ce soit sur la répartition de la valeur ajoutée, le niveau du point d’indice, du SMIC, des bourses et pensions, des indemnités chômage, des minimas sociaux.
Aussi, après avoir interpellé M. Le Délégué Interrégional le 27 septembre, appelé les agent.es à la grève le 29 septembre, appelé à la mobilisation le 18 octobre 2022, Solidaires Finances Publiques continuera son combat et sa mobilisation pour un meilleur partage des richesses, et une réelle prise en compte de l'inflation, et exige une forte augmentation du point d'indice et de notre régime indemnitaire.
Par ailleurs, Solidaires Finances Publiques souligne l'hypocrisie de ce gouvernement, qui annonce une hausse de l’indemnité télétravail (2,50 € à 2,88 € par jour), tout en restant plafonné à 220 € par an. Soit un passage à environ 76 jours de télétravail indemnisables contre 88 auparavant... Cherchez l’erreur.
Solidaires Finances Publiques est revenu sur cette pseudo consultation des agent.es appelée "remue-méningues". Consultation basée sur un questionnaire très orienté...
Nous avons rappelé que, symboliquement, des militant.es de Solidaires Finances Publiques s'étaient rassemblé.es devant la direction le jour de la première convocation du CTL, le 13 octobre 2022, afin de dénoncer cette réforme scélérate.
Solidaires Finances Publiques a tout fait pour s’opposer à la réforme du Nouveau Réseau de proximité. Si, globalement, nous n’avons pas été en capacité d’éviter les reculs majeurs au niveau national (en particulier sur la suppression massive du nombre de trésoreries), nous nous sommes efforcés d’obtenir des reculs des projets initiaux au niveau du Finistère. Ceux-ci ne sont pas à sous-estimer.
Les militant.es de Solidaires Finances Publiques sont déterminé.es et mobilisé.es pour construire une DGFiP renforcée, reconnue, et réhumanisée, au service de l’intérêt général, de la justice fiscale, sociale et environnementale.