Le 23 avril 2024, le premier ministre de l’époque Gabriel Attal, présentait Albert qui est le premier programme souverain d’intelligence artificielle français.
Pour faire simple, Albert devra, pour la DGFIP, analyser les seize millions de demandes annuelles en ligne sur e-contact des usagers pour générer automatiquement des réponses adaptées en lieu et place des agents des SIP et des CC.
Pour Gabriel Attal : " l’IA sera une chance pour remettre l’humain au cœur des services publics".
Incompréhensible !!!!!
Les usagers notamment des Centre de contacts de la DGFIP expérimentent déjà laborieusement la relation aux messages enregistrés ou autres assistants vocaux, qui tournent en boucle alors qu’ils cherchent désespérément à parler à un agent de la DGFIP.
À l'initiative de cette IA : un certain Ulrich Tan, qui est issu du corps des Mines, formé à Polytechnique, il est passé par le monde du privé pendant une décennie puis à la direction interministérielle du numérique.
Albert depuis le début de l’année 2024 est en phase de test au sein de 40 maisons France services, représentant 80 conseillers France services, réparties dans les départements de la Vienne (86), Deux-Sèvres (79), Rhône (69), Allier (03) et Meurthe-et-Moselle (54), Var (83).
Nous devons tous participer à une e-fomation pour améliorer notre empreinte carbone dans le cadre de Bercy vert, pourtant l’IA nécessite des ressources importantes d’électricité, d’eau, de métaux rares et d’espaces artificialisés. Son impact environnemental va de sa fabrication à sa distribution, en passant par la gestion de la fin de vie de ses équipements. L’impact écologique est un véritable désastre.