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La manifestation du 1er mai 2025 à Rouen partira à 10h30 du Cours Clémenceau rive gauche.

 

Le 1er mai doit marquer une première étape pour reprendre l’offensive toutes et tous ensemble :
-pour l’augmentation des salaires et des pensions
-pour le retrait de la réforme des retraites : 64 ans c’est toujours non !
-pour un autre budget, qui prenne en compte les impératifs sociaux et écologiques

 

Quel meilleur moment que la journée internationale de lutte des travailleurs et des travailleuses pour se syndiquer ! Face à un patronat rapace qui cherche à maximiser ses profits au détriments de nos salaires et à un gouvernement qui lui est acquis, il y a urgence à s’organiser pour être plus fort·es ensemble. Pour nous rejoindre :
Une belle occasion pour se syndiquer !

Toutes et tous dans les manifestations du 1er mai !

 

Pour nos salaires, nos conditions de travail, contre l’austérité.
Pour des services publics partout et pour tous·tes
Contre leur économie de guerre

Après avoir tenté d’imposer deux jours de carence supplémentaires et avoir reculé sous la pression de la grève du 5 décembre dernier, le gouvernement a imposé la baisse de l’indemnisation des congés maladie ordinaire, a supprimé la GIPA et a donné pour seule perspective une année salariale blanche pour les plus de 5 millions d’agent·es publics.

De nouvelles mesures d’austérité

Dans le même temps, les perspectives sont de plus en plus sombres. La dernière circulaire budgétaire en date prévoit des politiques austéritaires encore plus strictes et donc une nouvelle dégradation de la qualité des services publics et des conditions de travail des agent·es publics. Pour autant, les riches et les grandes entreprises n’ont jamais payé aussi peu d’impôts, et donc jamais aussi peu contribué à financer les services publics.

Il faut des services publics !

Nous ne pouvons pas laisser les gouvernements successifs sous couverts de motifs et faux prétextes, comme aujourd’hui, l’effort de guerre, dégrader les services publics et la situation des agent·es publics.

La population a besoin de services publics dans tous les territoires, couvrant tous les besoins de la vie. De nouveaux services publics restent même à créer pour soutenir la population.

Les agent·es publics ne peuvent plus être systématiquement être montré·es du doigt et servir de bouc émissaire. Ils et elles ne peuvent être celles et ceux sur qui reposent systématiquement les économies.
Les agent·es publics font tenir les services publics. Comme toutes et tous les autres travailleur·es, les agent·es publics dont les rémunérations décrochent, veulent vivre et non survivre. Ils n’ont pas à mendier une rémunération digne, à la hauteur du travail effectué.

Faisons valoir nos revendications

Alors le 13 mai, pour faire valoir nos revendications et exiger :

  • la suppression de tout jour de carence
  • la suppression de la baisse de l’indemnisation du congé maladie ordinaire
  • le rétablissement de la GIPA
  • l’attribution de 85 points d’indice pour toutes et tous, la revalorisation du point d’indice, l’indexation sur l’inflation
  • des créations d’emploi et un plan massif de titularisation pour redonner de l’air aux services publics
  • la fin des attaques et des menaces contre les agent·es publics et le fonctionnaire-bashing des responsables politiques et gouvernementaux.

Pour des services publics dotés des moyens humains et matériels indispensables à leur bon exercice.

Nous ne serons pas les variables d’ajustement destinées à maintenir les profits des grandes entreprises et des plus riches.

Toutes et tous en grève le 13 mai !


Les chiffres sont enfin tombés ! Et hélas, mais sans surprise, ils ne diffèrent pas des projections du PLF 2025 proposé par le gouvernement Barnier.

2025 04 02 10 13 19 tract emploi plf 2025.pdf Adobe Acrobat Reader 32 bit

 

Sur ces 550 suppressions d’emplois, 397 sont supportées par les directions territoriales (DDFiP et DRFIP) et 15 par les Directions nationales spécialisées (dont les DISI).

En 2025, et au mépris des engagements pris par le Directeur Général, Jérôme Fournel, avant son départ
comme directeur de cabinet de Bruno Le Maire, puis de Michel Barnier, la DGFIP va supporter encore 550
suppressions d’emplois, soit 33861 suppressions depuis sa création !

C’est près de 30 % du total de ses effectifs en 17 ans !

Au titre de 2025, c’est 25 % du total des suppressions dans la fonction publique d’état !

Une baisse du montant des crédits de personnel est par ailleurs projetée pour les années 2026 et 2027, ce qui
préfigure à n’en pas douter de nouvelles suppressions !

La logique sacrificielle de la DGFiP n’épargne cette année ni les cadres C, ni les cadres B.

La mission Fiscalité des particuliers devrait être la plus impactée par ces suppressions (SIP et centre de contact.

 

Pour la DRFIP 76 c'est au total moins 5 suppressions nettes d'emploi avec :

 

A + : - 1

A : + 9

B : - 1

C : - 12

 

 

Retour sur les Journées intersyndicales femmes formation-débats des 3 et 4 avril 2024

 

Partie 1 L’intime est politique : refuser les normes

Partie 2 Construire nos luttes féministes

Partie 3 Métiers du soin et du lien : un enjeu pour l’égalité

Partie 4 Nouvelles technologies et intelligence artificielle : nouvelles, mais toujours sexistes !

 

Pour accéder aux informations cliquez sur le lien ci-dessous :

 

Agir pour le droit des femmes

 

Bonne lecture