l invraicroyable

Le très célèbre et redoutable journal satirique de la section Solidaires finances publiques de Vaucluse.

PRECARITE, J'ECRIS TON NOM

Paul Eluard, dans son magnifique poème intitulé sobrement « Liberté », a réussi à prouver que l'espoir doit rester vivace en nous, quelques soient les circonstances. Le poète a composé cette œuvre magistrale en 1942, au plus fort de l'occupation nazie.

Ce poème est teinté d'une philosophie qui peut se résumer ainsi : l'Homme naît libre, et doit le rester. Telle est sa nature profonde. Mais peut-on être-et demeurer-libre quand on vit de manière précaire ?...

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SCANDALE D'ETAT !

On connaît enfin la vraie raison qui pousse nos gouvernements à taper dans les dépenses publiques plutôt que sur les fraudeurs !L'article ci-dessous montre toute l'attention qui est portée à la justice fiscale dans notre pays…

Evidemment, sans étude sérieuse, pas de fraude ; et pas de fraude signifie plus de DGFIP !

Le pognon de dingues qui ne rentre pas dans les caisses est visiblement moins urgent que celui qui sert aux gens à garder la tête hors de l'eau…

C'est avec ce genre de politique qu'en voulant traverser la rue pour trouver du travail, on risque d'y rester...Il est vrai que les SDF, qui n'ont plus d'argent, ne peuvent rien frauder !

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C'EST L'HEURE DES COMPTES...PUBLICS !!

De l'ère des comptables, avides de chiffres et de réductions des dépenses publiques, nous sommes passés à l'heure des idéologues ; pas ceux qui ont fait, et font encore, les grandes heures de la philospohie Politique,mais des idéologues low-cost.

Tous nos politiques clament le même slogan : « c'est moi ou le chaos ! », mais dans chacun de leurs programmes, le chaos est leur raison d'être. Cette réthorique vieille comme le monde consiste à assommer les citoyens en leur montrant un avenir terrible, ainsi, s'assurent-ils de leur parfaite non réaction...

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DEBAT OU DES HAUTS ?

C'est entendu, quand le peuple vote, il ne peut plus changer de dirigeants avant la fin de leurs mandats. C'est la règle inscrite dans la Constitution de 1958 qui gouverne les institutions de notre Vème République. En revanche, nulle trace dans cette Constitution sur le fait que l'élu a les coudées franches durant son mandat : la Constitution ne dit pas « tous les xxx ans, le peuple choisira son dictateur »…

C'est pour cette raison majeure qu'ont été institués les fameux corps intermédiaires...

 

pdfInvraicroyable - janvier 2019