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Bonjour à toutes et à tous.

Vous trouverez un lien du journal les échos intitulé Covid : qui sont les Français qui ont le plus épargné.

Morceaux choisis :

"Ainsi, en se basant sur des données anonymes de comptes bancaires du Crédit Mutuel, les économistes de l'Insee ont calculé que le quart des Français dotés du patrimoine financier le plus élevé a épargné en moyenne un peu plus de 10.000 euros l'an dernier. A l'inverse, les 25 % des ménages dont le patrimoine est le plus faible, ont, eux, mis de côté 218 euros en moyenne l'an passé."

"L'importance du surcroît d'épargne n'est pas non la même en fonction de l'âge. Le patrimoine financier des ménages dont la personne de référence a moins de 40 ans a en moyenne moins augmenté que celui des ménages dont la personne de référence a plus de 40 ans. Parce que les ménages dont la personne de référence a entre 40 et 60 ans ont des revenus plus importants et parce que ces personnes sont plus souvent dans des emplois stables, en CDI."

La grande majorité des français n'ont pas/peu d'épargne. Cela démontre bien que la politique économique du gouvernement est purement idéologiques. La politique fiscale du début de quinquennat (PFU, suppression/transformation de l'ISF en IFI) a montré son inefficacité.Les ménages les plus aisés ont épargné ou consommé, mais pas investi leur épargne dans les PME/TPE. Et ceux pour une raison très simple : ils chercent la rentabilité immédiaite. Et comme chaucun sait les PME/TPE n'ont pas nécessairement la rentabilité attendue par les marchés financiers.

Et ce n'est pas en diminuant les rendements du Livret A par exemple que le gouvernement va inciter les français à investir dans l'économie, puisque ceux-ci n'ont pas nécessairement d'épargne.

 

 

 

 

Vous trouverez ici un lien vers notre site national.

MME de MONTCHALIN, ministre de la Transformation et de la Fonction Publique a annoncé par voie de presse qu'elle "prépare un big bang. La ministre de la Transformation et de la Fonction Publiques travaille sur une réforme de la gestion de la carrière des fonctionnaires. Avec une annonce en septembre. A l’étude : réduction du nombre de corps, recours amplifié aux contractuels, déconnexion entre grades et fonctions, départs négociés..."

Le gouvernement n'a pas compris que tout le sytème néolibéral qui s'est développé dans le monde depuis le début des années 90 doit être revu, alors même que la crise sanitaire a montré qu'il y a des besoins sociaux non satisfaits.

Pour la Fonction Publique, cela s'est traduit par notamment par la rigueur salariale, les réorganisations constantes, les indicateurs de performance, mais aussi la fameuse évaluation individuelle chère à nos Directeurs.

Résultats : des services publics exangues ! Et des gouvernements qui s'acharnent à vouloir faire rentrer des ronds dans des carrés. Un jeu dont les enfants comprennent rapidement que c'est impossible !

Ce n'est pas grave notre ministre va sûrement nous expliquer, comment nous passer de nos droits, déjà bien rognés, en les faisant encore reculer !

Nous ne nous étonnerons pas si le baromêtre social est cette année encore très mauvais.

Bonjour à toutes et à tous,

Vous trouverez en PJ le CR de la réunion informelle citée en objet.

pdfCR_RI_2021_02_04_V4.pdf

 

Bonjour à toutes et à tous,

Comme nous en avons pris l'habitude, nous vous relayons le Journal de la section des directeurs, qui est comme toujours très intéressant. La section DVNI remercie chalereusement les collègues pour leur travail de qualité. Et nous sommes convaincu que dans l'encadrement beaucoup partagent leurs analyses.

Il est indispensable de travailler à nouveau pour recréer du collectif, car tous les agents, quel que soit leur grade payent le prix des réformes idéologiques de notre administration.

Vous y trouverez au sommaire :

  • Le contrôle fiscal à la croisée des mondes
  • Le grade d'AFIP séduit moins : comment en est-on arrivé là ?
  • À contre-courant de l’histoire, les trois erreurs stratégiques de la DGFIP

Plusieurs points ont attirés notre attention, notamment sur l'ouverture des postes d'administrateurs à l'extérieur. 50 % des postes ouverts sont des postes de numéro 1, ce qui n'est pas de bon augure pour les carrières des agents de l'encadrement. 

Le bilan qui a été fait de la politique d'ouverture est maigre : non seulement il n'a pas permis d'attirer les talents de l'extérieur, pis il a découragé certains talents de la DGFIP de postuler. L'observatoire interne risque cette année encore de ressembler aux années précédentes...

pdfJSA._123_rlb.pdf