pdfCompte-rendu du CDAS


La séance plénière du jour s’est tenue sans groupe de travail préparatoire. La déléguée étant
surmenée (gestion des Vosges, de la Meurthe-et-Moselle et de la Haute Marne) ce qui prouve,
encore une fois, que le délégué départemental de proximité est indispensable.
En propos liminaires, SOLIDAIRES FINANCES a rappelé le règlement intérieur pour ce qui est
de l’envoi des documents préparatoires et confirme être en totale opposition avec la
régionalisation de l’Action Sociale. Lorsqu’on voit le souk dans la SRIAS Grand Est, près de
chez nous, qui couvre le territoire de Charleville-Mézières à Mulhouse,on peut s’inquiéter. !!! ...
Installation au 1er novembre prochain d’Alain CAZEAUX au poste de délégué en
remplacement de Nicole MARC.
A ce jour, il reste 7518,09 euros à dépenser sur le budget du Crédit d’Action Locale (CAL)

  1. Il a été décidé d’augmenter la tranche d’âge des enfants bénéficiaires de l’Arbre de


Noël. On retiendrait donc ceux nés en 2004, 2005 et 2006 pour l’octroi d’un chèque cadeau de
35 euros. Il est également retenu l’idée d’offrir une boîte de chocolats aux agents en CLM/CLD
ou aux retraités ayant perdus leur conjoint.
Nous sommes étonnés de constater qu’une somme de 1500 euros a été allouée, sans l’accord
du CDAS,pour 2021 à l’achat de nouveaux sacs soit-disant « eco-responsables » de
fabrication locale made in india alors que nous avions déjà dépensé une somme d’environ
20000 euros (soit la moitié du budget de l’année)en 2020..
Plusieurs pistes de réflexion ont été engagées quant aux sorties envisagées au titre de 2022 :

  • sorties multiples : thermes, Aquarium, zoo d’Amnéville, Parc Wallygator
  • Bol d’air à la Bresse, accrobranche à Pierre Percée,
  • Fraispertuis
  • Mine de Sel à Varangéville,
  • Visite de l’usine sidérurgique « patrimoine UNESCO » à VOLKLINGER


SOLIDAIRES FINANCES a demandé qu’un point sur la restauration collective de Toul soit
effectué. La structure faisant face à de multiples problèmes et interrogations suite aux
fermetures des SPF, SIE et SIP :

  • Motivation et disponibilité des bénévoles (télétravail, confinement et protocole de


réouverture) ;

  • taux de fréquentation du restaurant, versement des subventions, paiement des factures,
  • le restaurant est-il voué à être fermé ? Quid de la rupture du contrat avec le prestataire ?


Quid de l’avenir de la personne dédiée « restauration collective » ?
A quand l’arrivée de la Sous-préfecture ? Quelles sont les motivations de la DGFIP ?
L’ensemble de ces questions va être remonté au Secrétariat Général. Affaire à suivre ...