Tristes, nous le sommes, de voir les agents des Finances publiques subir, de longue date, non seulement les suppressions d’emplois, mais, aujourd’hui en plus de les voir également payer les pots cassés et les conséquences d’un cafouillage inédit entre «Bercy» et l’Élysée. Les centres de contacts et les centres impôt service sont submergés d’appels de contribuables qui se questionnent à bon droit sur les nouvelles mesures gouvernementales. Il en est de même de l’accueil des SIP mis à rude épreuve. Et pourtant ni les uns ni les autres n’avaient besoin de ça.