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[Edit 10h02]

Après avoir eu le DDFIP au téléphone.

Une audio avec le directeur général a lieu dans l'après midi.

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Bonjour,

 

Suite aux annonces de notre président, nous avons contacté la direction ce matin par mail

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Messieurs,
Suite aux annonces gouvernementales hier soir, merci de nous préciser - dans la mesure du possible - la déclinaison locale des mesures prises pour les agents.
Nous vous rappelons que, dans notre département, certes les écoles, collèges et lycées ne sont fermés qu'une semaine (du 6 avril au 9 avril), mais également tous les modes de garderies alternatif (centres aérés et j'en passe) sont tous fermées pendant les 3 semaines.
Cela va poser de gros soucis organisationnels notamment pour le traitement du fonds de solidarité mais aussi pour la campagne d'impôts - pour ne parler que de cela.

Je tiens également à remercier M. *** pour le mail ci-dessous qui est bien résumé et clair.

L'ensemble du bureau de Solidaires finances publiques est à votre écoute.
Bien cordialement.
C. BONIN
Secretaire"

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Message du service RH envoyé à l'ensemble des agents du département de la Haute Savoie le 31/03/2021 :


Bonjour,

En raison de l’augmentation des fermetures de classes qui peuvent survenir du fait du renforcement du protocole sanitaire
dans les écoles et les établissements scolaires,
dans un contexte de recrudescence du COVID, nous vous rappelons les
consignes à appliquer pour les personnels concernés :


Les agents devant assurer la garde de leur enfant en raison de la fermeture de leur établissement d'accueil / classe / section
ou lorsque leur enfant est identifié en tant que « cas-contact » par l'Assurance Maladie,
sont placés en autorisation spéciale d'absence COVID (ASA CA 030) lorsque le télétravail n'est pas possible.


Les agents concernés doivent fournir
les justificatifs suivants :

-    un justificatif de l'établissement attestant que l'enfant ne peut être accueilli ou un document de l'assurance maladie attestant
que l'enfant est considéré comme cas contact à risque ;

-    une attestation sur l'honneur indiquant que l’agent est le seul des deux parents à demander l’octroi de ces autorisations d’absence.
 
En effet cette mesure ne peut bénéficier qu'à un parent à la fois.


C
es ASA COVID peuvent être accordées pour garder les enfants âgés de moins de 16 ans.
En revanche aucune limite d'âge n'est fixée pour les enfants handicapés.

Ces ASA COVID ne sont pas contingentées.
Les agents dans cette situation ne doivent donc pas utiliser le contingent des autorisations d’absence destinées à soigner ou assurer
la garde d’
un enfant malade.

Vous souhaitant bonne réception de ce message.

Bien cordialement

2021 03 29 09 31 46 Window


Groupe de travail du CNAS

 

« Liquidation du Parc EPAF »

 

EPAF, association loi de 1901 sous l’égide du Ministère de l’Économie, des Finances et de la Relance (MEFR), met en oeuvre des prestations de vacances à destination de tous les agents du MEFR. Elle offre depuis 1956 des vacances aux agents actifs et retraités à des tarifs sociaux dans des résidences mises à sa disposition par le ministère. Elle emploie à ce titre155 salariés de droit privé et environ 30 fonctionnaires, ceci sur tout le territoire.

EPAF a développé toutes ces années un grand savoir-faire et de hautes compétences unanimement reconnues par les partenaires du tourisme social.

Aujourd’hui, le Ministère a pris la décision, sans concertation ni avec les organisations syndicales, ni avec EPAF, de céder l’ensemble des résidences et de l’activité à un repreneur du tourisme.

C’est un coup porté à l’action sociale du Ministère, c’est un mépris marqué envers tous les agents et envers les salariés d’EPAF dont le ministère n’a que faire.

Le gouvernement qui affirme mettre tous les moyens en oeuvre pour éviter des licenciements et des fermetures d’entreprises « quoi qu’il en coûte » ose mettre en place un plan social au sein du MEFR.

Les organisations syndicales ont toujours été unanimement opposées à une telle cession.

Dans une expression commune, les fédérations syndicales ont réaffirmé leur opposition à la vente du parc des résidences gérées par EPAF lors du groupe de travail du 25 mars.

Or, la sous-direction des politiques sociales, non seulement ne nous a pas écoutés mais a, en plus, fait preuve d’un grand mépris vis-à-vis de l’association et de ses personnels qui oeuvrent depuis plus de 60 ans pour nos vacances.

C’est pourquoi l’ensemble des organisations syndicales, après une suspension de séance, a quitté la réunion.

Face à une telle annonce et considérant l’absence totale de dialogue social, elles ont décidé de demander la convocation d’un CNAS/CTM avec pour unique point à l’ordre du jour le devenir d’EPAF et de ses salariés.

 

Signez et faites signer la pétition pour la défense de notre action sociale à toutes et tous !

Pétition en ligne : https://www.mesopinions.com/petition/politique/defendre-action-sociale-ministerielle/113310

Nous déplorons que certaines directions ministérielles aient bloqué l’accès au site de la pétition à partir des postes de travail. Nous ne pouvons que vous encourager à ne pas abandonner et à la signer de chez vous.

La défense de notre action sociale le vaut bien !!

Merci à la section du 38 pour l'article ;)

La restriction du champ de compétence des CAP, initiée par la loi de transformation de la Fonction Publique à conduit à la suppression des CAP de mutations nationales et des CAP locales d’affectation.

IL EST VRAI DE DIRE :

  • Qu’il n’existe plus d’instances officielles pour assurer la défense de l’agent, pouvant déboucher, après la publication du mouvement, sur une éventuelle modification de son affectation initiale

  • Que les élus en CAP ne disposent plus de l'ensemble des éléments informatifs leur permettant de vérifier la régularité des mouvements et de renseigner l’agent sur les questions techniques relatives à sa situation au regard des règles.

MAIS IL EST FAUX DE DIRE que la défense de l’agent ne peut plus être assurée et que le syndicat ne sert plus à rien sur le sujet des mutations ou des affectations locales. Il est compréhensible que le coup de massue de la suppression des cap mobilités aient conduit nombre de vos représentants, et aussi les adhérents, à un sentiment d’impuissance et de résignation. Pour autant, notre syndicat doit, peut et va continuer à assurer la défense de ses adhérents : le nouveau contexte nous contraint à changer notre manière de travailler en adaptant notre stratégie aux nouvelles procédures imposées par les LDG (Lignes Directrices de Gestion). C’est cette nouvelle stratégie qui a été mise en place dès le mouvement de mutation de 2020 avec quelques succès à mettre à notre actif.

Il a fallu se départir de toutes nos pratiques antérieures, utiliser les possibilités légales de recours prévues dans les LDG, et construire une nouvelle approche, avec un seul objectif en tête : assurer coûte que coûte la défense des agents.

On lâche rien