CSAL - Comité Social d'Administration Local

En pièce jointe, le compte-rendu du CTL CVT : pdfCompte-rendu_CTL_CVT.pdf

L’accord ministériel sur la reconnaissance de l’engagement des agents de la DGFIP comprenait 3
axes :
• Une mesure indemnitaire exceptionnelle
• Un volet promotion
• Un fonds dédié à l’amélioration du cadre de vie
Le premier sujet a consisté en une prime de :
• 120 € pour les agents de catégorie A du grade Inspecteur et équivalent,
• 170 € pour les agents de catégorie B,
• 250 € pour les agents de catégorie C
Le deuxième sujet a consisté en une augmentation du taux de promotion intra-catégoriel.
Le troisième sujet était « L’amélioration du cadre de vie » :
Un fond de 74751€ a été dédié à la Disi pour financer divers types d’action dans le but d’améliorer
le cadre de vie des agents. Ainsi, une consultation a été faite auprès de l’ensemble des agents de la
Disi, courant décembre, qui ont été invités à faire part de leurs propositions.

Déclaration liminaire de la 2eme convocation du CTL suppressions emplois.

 

La crise sanitaire que nous subissons depuis mars 2020 a réaffirmé, si besoin en était, toute l'importance des services publics. Ainsi personne ne peut plus ignorer ou sembler ignorer la situation des administrations françaises avec une mention spéciale sur le délitement et le manque de moyens tant dans les hôpitaux qu'à l'éducation nationale. A cela s'ajoute une désorganisation accrue par le mode de communication des ministres, qui informent des nouveaux protocoles sanitaires concernant leur administration par voix de presse, démontrant ainsi le mépris de ce gouvernement envers les fonctionnaires.

Pourquoi nous boycottons le CTL suppression d'emplois ?

 

L'administration a convoqué les élus en CTL suppressions d'emplois le 13 janvier 2022 pour les informer du PLF 2022 (Projet de Loi Finances qui détermine les suppressions d’emplois décidées) et de ses déclinaisons à la DISI Ile-de-France .

L'ensemble des organisations syndicales a décidé unanimement de boycotter cette 1ère instance.

En toute cohérence, nous avons décidé de boycotter aussi la seconde instance car la situation est trop grave pour participer à un simulacre de dialogue social.