L’actualité départementale mensuelle est marquée par la tenue de plusieurs instances qui ont confirmé que l’amélioration des conditions de travail des agent(e)s ne constituait pas a priori la priorité de notre DDFiP...
Le 28 juin, le Comité Technique Local (CTL) a été l’occasion pour les élu(e)s Solidaires Finances Publiques de poser beaucoup de questions sans toutefois récolter en retour les réponses appropriées… (https://sections.solidairesfinancespubliques.info/110/290-ctl-du-28-juin-2022-des-questions-mais-pas-de-reponses.html).
Quant au Comité d’Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail (CHSCT) du 5 juillet, il s’est limité à un déni de la réalité de la souffrance au travail vécue par de plus en plus d’agent(e)s du département (https://sections.solidairesfinancespubliques.info/110/291-chsct-du-5-juillet-le-deni-de-la-realite-de-la-souffrance-au-travail.html).
Enfin, la réunion de la Commission Administrative Paritaire Locale (CAPL) de recours suite à entretien d’évaluation du 30 juin sera la dernière malgré les bienfaits, notamment en termes de transparence, que celles-ci pouvaient apporter (https://sections.solidairesfinancespubliques.info/110/293-capl-recours-entretien-d-evaluation-agent-e-s-de-categorie-c-du-30-juin-2022.html).
Solidaires Finances Publiques persistera à réclamer de meilleures conditions de travail pour les agent(e)s mais également le maintien de nos statut et fonctions, tout comme l’augmentation de nos traitements scandaleusement gelés depuis 20 ans.
C’est ainsi qu’à l’initiative de notre section, une manifestation intersyndicale s’est déroulée le 30 juin devant la cité administrative (https://sections.solidairesfinancespubliques.info/110/286-pour-la-revalorisation-de-nos-remunerations-rassemblement-le-30-juin.html).
Ce rassemblement a donné lieu à un article dans la presse locale (https://sections.solidairesfinancespubliques.info/110/289-mobilisation-du-30-juin-pour-la-revalorisation-de-nos-traitements-l-article-de-l-independant.html).
Combat également en intersyndicale contre la généralisation du « foncier innovant » avec la première délibération d’une commune de l’Aude se prononçant contre une procédure visant à supprimer à terme emplois et mission (https://sections.solidairesfinancespubliques.info/110/285-contre-foncier-innovant-premiere-deliberation-dans-l-aude-et-pas-la-derniere.html).
Enfin, la section a souhaité interpeller directement le DGFiP au sujet de l’opération pompeusement intitulée « remue méninges », plutôt que de participer à la mascarade de « concertation » organisée par le DDFiP de l’Aude (https://sections.solidairesfinancespubliques.info/110/287-operation-remue-meninges-solidaires-finances-publiques-11-saisit-le-dgfip.html).
La dernière information concerne la demande d’autorisation d’absence exceptionnelle pour les agent(e)s du Service de la Publicité Foncière et de l’Enregistrement (SPFE) de l’Aude effectuée par la section le 18 juillet suite à l’indisponibilité de l’application Fidji le 22 juillet (https://sections.solidairesfinancespubliques.info/110/292-autorisation-d-absence-22-juillet-agent-e-s-du-spf.html).
La DDFiP de l’Aude, contrairement à d’autres départements (Ariège, Hautes-Pyrénées) a d’ores déjà répondu par un refus indiquant que « cette indisponibilité ne doit pas entraîner de fermeture de services » (n’y-a-t-il pas eu de « fermeture de services » lors du passage du tour de France à Carcassonne le 19 juillet ?) et que les agent(e)s feront du « classement » !
Encore une fois, voilà la considération dont font preuve nos dirigeant(e)s, particulièrement les audois(es), à l’encontre des agent(e)s.