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Accueil du Jupitérien
à Ganges le 20 avril
On est là, même si Macon ne veut pas, nous on est là !
Pour ses premiers pas après la promulgation de sa loi honteuse sur la reforme des retraites, Macron avait choisi l'Alsace. Région tranquille, mis a part quelques insultes et doigts d'honneur amicaux .
Le lendemain, il avait rendez vous à Ganges, petite ville tranquille de l'Hérault, dans un collège, pour parler formation. Il pensait, à la campagne, être tranquille. C'était sans compter sur la colère de ses habitants, et de nombreuses personnes venus de tout le département et des départements voisins, dont certains de vos représentants Solidaires finances publiques. Il y avait aussi du rose dans le cortège !
Rassemblement sonore et bon enfant devant la mairie avec d'autres syndicats et militants, munis de sifflets, les casseroles ayant été confisqués par les gendarmes sur ordres du préfet qui avait interdit les "dispositifs sonores portatifs", LOL. Il pensait que cela allait stopper le bruit, le naïf.
Premières bousculades à l'arrivée de notre très cher président, jets d'œufs et de pommes de terre et finalement quelques lacrymogènes, sur un malentendu : nous étions nombreux à vouloir "échanger " avec Manu mais les forces de l'ordres n'avaient pas reçu le message de nous laisser passer. Rien de bien grave, on pleure , on tousse et on y retourne.
Quand on vous dit qu'on lâche rien !
Pendant toute sa visite , le vacarme a été à la hauteur de la colère, et de sympathiques électriciens ont eu l'excellente idée de couper l'électricité dans le collège. Résultat, tout s'est passé dans la cour, bercé par le doux bruit des casseroles (il y en avait finalement pas mal), des sifflets, des hués et des pétards.
Une bonne matinée. Et souhaitons lui d'avoir à chacun de ses déplacements, un accueil aussi chaleureux, à la hauteur de notre amour pour lui.
La délégation SOLIDAIRES FINANCES PUBLIQUES GARD prête pour l'accueil à Ganges
Du monde mais le président n'a pas voulu voir la population en colère !
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Du fait des vacances scolaires,
les HMI intersyndicales auront toutes lieu le même jour.
le lundi 6 mars :
- UZES : 9h
- BAGNOLS SUR CEZE : 11H l'HMI est aussi organisée sur Bagnols pour les agents de Villeneuve souhaitant s'y rendre
- ST PRIVAT DES VIEUX : 14H l'HMI est aussi organisée sur St Privat pour les agents de Quissac et du Vigan souhaitant s'y rendre
- NÎMES Saintenac : 15 H l'HMI est aussi organisée sur Nîmes pour les agents de Vauvert et des antennes de ST Gilles et Beaucaire souhaitant s'y rendre et pour tous les sites de Nîmes (Carnot, Paierie Départementale, Nîmes CHU)
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Samedi 11 février
NIMES
20 000 personnes
ALES
5 000 Personnes
BAGNOLS SUR CEZE
4 500 Personnes
la revue de presse
- En-images-les-meilleures-pancartes-de-la-manifestation-alesienne-sur-la-rocade
- En-images-tres-forte-mobilisation-a-nimes-contre-la-reforme-des-retraites
- Bagnolsceze-retraites-forte-mobilisation-pour-ce-premier-samedi-de-manifestation
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Les résultats de la grève du 7 février 2023 à la DDFIP Gard :
20 %
7 structures fermées au public
sdnc-greve-télétravail_300-3.pdf
Faisons du 11 février,
une journée noire
contre la réforme des retraites !
Tract_greve_retraites_11_fevrier.pdf
NIMES :
20 000 personnes
ALES :
4 500 personnes
BAGNOLS SUR CEZE :
3 500 personnes
LA REVUE DE PRESSE LOCALE
Article ObjectifGard en attendant Samedi
- Article sur la manifestation à Nîmes : Les interview pendant la manifestation
- Article sur la manifestation à Alès : les cevenols ne lachent rien
- Article sur la manifestation à Bagnols sur Cèze : forte mobilisation-a-bganols-sur-ceze-contre-la-reforme-des-retraites
La mobilisation en occitanie
- Montpellier : 11 000 selon la police, 15 000 selon les syndicats
- Nîmes : 20 000 manifestants selon l'intersyndicale
- Béziers : entre 2 000 et 4 000 manifestants
- Sète : entre 1 600 et 2 000 manifestants
- Alès : entre 3 000 et 4 500 manifestants
- Bagnols-sur-Cèze : entre 1 200 et 3 500 manifestants
- Mende : 500 manifestants, 1 350 en Lozère
- Rodez : entre 1 600 et 3 000 manifestants
- Saint-Affrique : 500 manifestants
- Toulouse : entre 23 et 25 000 pour la police, 80 000 pour les syndicats
- Perpignan : entre 3 000 et 3 500 manifestants
- Narbonne : entre 1 300 et 2 000 manifestants
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