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Nous refusons de prendre deux ans ferme !
A partir du 7 mars, mettons la France, la DRFiP, à l’arrêt pour le retrait du projet de réforme des retraites !
Les organisations syndicales dans l’unité proposent de mettre le pays à l’arrêt dès le 7 mars face au mépris et à l’entêtement du Président Macron et de son gouvernement à maintenir leur projet de réforme des retraites.
Toutes les dispositions de ce projet aggravent la situation des femmes, des seniors, de tous les salariés du public et du privé.
Les journées des 7 et 8 mars sont des journées décisives dans la bataille contre la réforme des retraites.
De nombreuses initiatives intersyndicales et interprofessionnelles sont organisées, rien que pour cette semaine, nous avons recensé les évènements suivants, n'hésitez pas à venir nombreuses et nombreux :
Lundi 27 février
Meeting de l'intersyndicale IDF à 17h rue Tournon (face au Sénat).
Jeudi 2 mars
Marche aux flambeaux dans le 18e arrondissement à 18h métro Barbès organisée par l'AG interpro 18ème
Vendredi 3 mars
Marche aux flambeaux dans le 20e arrondissement à 18h place Gambetta organisée par l'AG interpro 20ème
Soirée-débat festive sur la réforme des retraites et la mobilisation organisée par Solidaires RATP lignes 3/3bis à 18h au théâtre l'échangeur à Bagnolet (métro Galliéni)
Ce vendredi 17 février se tenait un CSAL, le second auquel nous assistions sous l’ère de notre nouvelle DRFIP .
Avant même de débuter la séance nous nous doutions déjà de la conception que Mme Sophie Mahieux se faisait du dialogue social. En inscrivant pas moins de 14 points à l’ordre du jour pléthorique de ce CSAL, difficile d’imaginer qu’elle attache une quelconque importance à la parole des représentant.es du personnel.
L’idée : expédier les débats d’une instance qu’elle perçoit manifestement comme une contrainte légale dont elle souhaite s’affranchir.
Nos doutes n’ont pas tardé à se vérifier : Madame refuse de répondre, invective avec violence, rit avec outrance de nos interventions.
Face à ce comportement insultant, impossible pour nous de rester !
Dans ces conditions, nous avons quitté la séance.
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