Ce vendredi 17 février se tenait un CSAL, le second auquel nous assistions sous l’ère de notre nouvelle DRFIP .
Avant même de débuter la séance nous nous doutions déjà de la conception que Mme Sophie Mahieux se faisait du dialogue social. En inscrivant pas moins de 14 points à l’ordre du jour pléthorique de ce CSAL, difficile d’imaginer qu’elle attache une quelconque importance à la parole des représentant.es du personnel.
L’idée : expédier les débats d’une instance qu’elle perçoit manifestement comme une contrainte légale dont elle souhaite s’affranchir.
Nos doutes n’ont pas tardé à se vérifier : Madame refuse de répondre, invective avec violence, rit avec outrance de nos interventions.
Face à ce comportement insultant, impossible pour nous de rester !
Dans ces conditions, nous avons quitté la séance.