La journée d’action du 22 mars nous démontre bien le malaise et le mal-être des agents, encore plus criant à la DDFIP du VAL-DE-MARNE, avec un taux de grève de 44,66% tous grades confondus!
Cela se comprend aisément lorsque l’on voit :
- les restructurations diverses passées et à venir qui touchent les agents du VAL-DE-MARNE,
- les difficultés dans les services en raison du manque criant de personnel,
- la mise en place des nouvelles règles de gestion à la DGFIP.