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Bonjour à toutes et à tous,

vous trouverez ci-joint le journal de la section des Directeurs qui - encore une fois - est intéressant. Merci aux copains de la section des directeurs pour leurs analyses fines.

Tous les agents quel que soit leur grade, sont menancés par la contractualisation qui pose de nombreuses questions déontologiques. Au delà de cela, ce sont les citoyens qui sont menacés en terme d'égalité d'accès aux services publiques, d'égalité de traitement, de conflit d'intérêt.

Si la déontologie va de soit lorsqu'on est fonctionnaire statutaire, ce garde-fou n'existe pas pour les contractuels. Par ailleurs, cette ouverture - purement idéologique, ne peut que provoquer une accélération des restructurations au forceps, et sans tenir compte des conditions de vie au travail des agents.

pdfJSA_122-1_RLB-1.pdf

Ce numéro aborde la contractualisation des postes de Direction.

"Sont concernés les emplois de directeur et de directrice des services déconcentrés et à compétence nationale, de délégué du directeur général, de RPIE, de conseiller aux décideurs publics et de contrôleur budgétaire régional au sein d'une DRFIP ainsi qu'un emploi de direction au sein de chaque service déconcentré et à compétence nationale.

Ne sont donc pas soumis à l'ouverture, l'essentiel des postes d'adjoint au directeur et de chef de pôle, les postes d'encadrement supérieur ouverts aux AFIP-AGFIP (MDRA, adjoint RPIE, chargé de mission, adjoints des chefs de pôle…), les postes comptables offerts aux membres du corps ainsi que les postes de chefs de bureau, d'adjoints et de chargés de mission en administration centrale.

Ne sont donc pas soumis à l'ouverture, l'essentiel des postes d'adjoint au directeur et de chef de pôle, les postes d'encadrement supérieur ouverts aux AFIP-AGFIP (MDRA, adjoint RPIE, chargé de mission, adjoints des chefs de pôle…), les postes comptables offerts aux membres du corps ainsi que les postes de chefs de bureau, d'adjoints et de chargés de mission en administration centrale."

 

Bonjour à toutes et à tous,

vous trouverez en PJ un tract concernant les frais de mision.

Faites-nous remonter toutes vos difficultés !

pdfTarct_Faites_vos_courses_V4.pdf

Bonjour,

Ce mardi 29 septembre, vos représentants Solidaires Finances Publiques ont siégé au CTL de présentation du Tableau de Veille Social (TBVS) de la DVNI.

Comme chaque année, il est inquiétant. Nous remarquons cependant que seulement 40 % des agents ont répondu au questionnaire de l'oservatoire interne. Ce chiffre montre une certaine lassitude des agents à répondre à ce type de questionnaire, alors même que l'administration n'en tient jamais compte et continue au pas de charge ces restructurations.

Solidaires Finances Publiques appelle les agents à répondre massivement au prochain questionnaire, afin que l'Administration ne puisse pas dire : les agents sont d'accord avec nous puisqu'ils ne se mobilisent pas.

Vos représentants ont souligné que les délais de séjour sont inutiles et inefficaces. Lorsque le CF ne convient pas, les agents sont bloqués sur leur poste. La Direction argumente toujours dans le même sens : le délai de séjour se justifie par l'investissement nécessaire, afin de former un vérificateur.

Or, la mobilité des agents dépend de deux facteurs principaux : les possibilités de mutation (en province surtout), ainsi que le métier (s'il convient à l'agent ou non).

Les chffres du TBVS le montrent : soit les agents restent longtemps, soit ils partent dès qu'ils le peuvent.

Vous trouverez ci-après la liminaire et le CR de ce CTL.

pdfCR_CTL_présentation_du_TBVS_2019V2.pdf

pdfLiminaire_CTL_présentation_du_TBVS_2019.pdf

La DGFiP a publié la note d'application relative au remboursement des frais de repas, suite à la modification du décret 2006-781.

Petit rappel historique : un parlementaire a posé une question en s'émouvant que les fonctionnaires sont remboursés forfaitairement de leur repas sans justificatifs dès lors qu'ils sont en mission.

Suite à cela, le décret a été modifié.

Si nous ne remettons pas en cause notre responsabilité quant à la bonne utilisation des deniers publics, nous ne pouvons que constater le mépris et le climat de suspicion qu’ont nos élus pour leurs fonctionnaires. De la part de personnes qui bénéficient d’indemnités de frais de mandats sans justificatifs, et dont ils n’acceptent aucun contrôle au nom de la séparation des pouvoirs, cela laisse pantois.

Nous ne doutons pas - il n'y a pas de petites économies - cette mesure n'est que le préalable au remboursement au réel, plafonné au remboursement forfaitaire !

Si les élus s'appliquaient à eux-mêmes, ce qu'ils demandent aux agents publics, ça changerait un peu.

J'entends déjà les discours de nos détraecteurs : c'est un discours populiste anti-élus. De plus, il est normal d'aligner le régime des agents publics sur celui du privé.