Audio-conférence DDFiP 18 du 28 avril 16h

 

Présentation de la situation par le DDFiP :

Taux de présentiel :

24,9% le 27 avril

28,2% le 28 avril

Campagne IR :

Appels téléphonques, e-contacts, télédéclarants soutenus.

Situation sanitaire :

1 cas contact, 4 cas symptomatiques dont 1 cas avéré.

Reprise d'activité après 11 mai :

La DDfiP est en attente du cadre général qui sera fourni par le DG.

S'agissant de la campagne IR, le DDFiP annonce garder sa vigilance sur le taux de présentiel.

D'une manière plus générale, il estime que le dé-confinement doit être accompagné de la protection des agents.

Aucune date n'est fixée sur le sujet de la ré-ouverture au public.

 

L'analyse et réaction de Solidaires Finances Publiques :

Solidaires Finances Publiques a affirmé que, quelque soient les modalités de dé-confinement, la priorité absolue doit être celle de la protection des agents et au-delà de toute autre considération.

Le syndicat continue et continuera de peser de tout son poids, tant localement que nationalement, pour répondre à la seule urgence qui vaille : la lutte contre la propagation du virus et la protection des personnels de la DGFiP, quelles que soient les positions administratives dans lesquelles ils et elles sont placé•es, et quels que soient leurs services d’origine.

 

 

 

-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Audio-conférence DG du 29 avril 2020

Le DG confirme que les projets liés au NRP sont suspendus et admet que nous devrons avoir une discussion avant de relancer le processus pour l’examiner à la lumière de la période actuelle.

Il confirme également que là où ce sera possible, l’accueil physique sur rendez-vous (APRDV) sera lancé dès le 11 mai ou dans les jours qui suivent.

Concernant le plan de reprise d’activité, il serait en cours de finalisation avec la prise en compte des contraintes liées aux annonces du Premier ministre.
Les premières pistes seront dévoilées la semaine prochaine et une audio-conférence y sera consacrée. La DG entend poursuivre la montée en puissance du télétravail (nombre de télétravailleurs multiplié par 8 depuis le début de la crise), mais avec beaucoup de prudence en lien avec les sujets de sécurité, notamment en ce qui concerne l’usage de matériels personnels. La fourniture d’ordinateurs portables professionnels va se poursuivre avec l’arrivée des dotations attendues. Par contre, l’usage possible de mini stations restera très limité (une centaine pas plus au niveau national). Nous avons insisté à nouveau sur la notion de volontariat.
La DG dit prendre toutes les précautions en ce qui concerne la situation des grandes agglomérations et sur le problème des transports en commun, envisageant des aménagements d’horaires possibles (horaires décalés).
Sur ce PRA, nous avons demandé un protocole sanitaire conforme aux préconisations gouvernementales - protéger, tester, isoler - demande restée sans réponse de la part de la DG, en plus d’un protocole relatif aux missions. La DG indique avoir demandé aux directions locales de tenir des CHS-CT avant le 11 mai.

Les annonces du gouvernement sur la sortie progressive du confinement bousculent aussi les hypothèses de travail de la DG en matière de scolarité et de stages. Des précisions sur le calendrier des mouvements de mutation et sur l’enchaînement des procédures seront rapidement apportées, tant aux directions qu’aux organisations syndicales.

La campagne IR continue en mode très dynamique selon les informations de la DG, tant du point de vue du volume des déclarations déposées électroniquement que du niveau des sollicitations téléphoniques (avec un taux de décrochés qui s'améliore) et internet, situation qui requiert donc, selon la DG, toujours la poursuite de la montée en puissance des moyens alloués.

Subsidiairement et pour répondre à une de nos demandes d’information, la DG indique que les processus de mise à jour des taux de PAS fonctionnent correctement et que les rentrées fiscales sont bonnes, contrairement à celles de la TVA (divisées par 2 pour le mois de mars par rapport à la même période l’année dernière, ndlr : ce