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LES SACRIFICES POUR LE MONDE DU TRAVAIL, ÇA SUFFIT!
La multiplication des mobilisations sous diverses formes le confirme.
Les pistes de budget présentées le 15 juillet par le Premier Ministre ont été immédiatement et unanimement condamnées par nos organisations.
En effet, les différents mesures budgétaires avancées sont d'une brutalité sans précédent.
Le Gouvernement a choisi encore une fois de faire payer les salariés, les précaires, les retraité-es, les malades.
DES MESURES SOCIALEMENT INJUSTES ET ECONOMIQUEMENT INEFFICACES
DES CHOIX BUDGETAIRES QUE NOUS CONTESTONS

RASSEMBLEMENT 9H30 DEVANT L'HOPITAL DE DAX PUIS MANIFESTATION JUSQU'A LA GARE

Lire tout le tract pdfTRACT_intersyndicale_18_septembre_20251.pdf

Imposons un budget de justice fiscale et sociale

Les orientations budgétaires pour 2026, présentées le 15 juillet par François Bayrou, cumulaient les régressions sociales et les attaques contre le monde du travail, les retraités et les malades : suppression de deux jours fériés, suppressions massives d'emplois dans la fonction publique, gel des rémunérations des agents publics, des retraites et des prestations sociales, doublement des franchises médicales, remise en cause de la 5ᵉ semaine de congés payés... Les services publics et les fonctionnaires sont une fois de plus la cible privilégiée des politiques austéritaires. À la DGFiP, 550 suppressions d'emplois supplémentaires sont projetées pour 2026 puis 600 pour 2027 avant même application de la suppression d'un fonctionnaire sur 3. 

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Le Premier Ministre Sébastien Lecornu a annoncé ce 13 septembre renoncer à la suppression de deux jours fériés dans le cadre de l’élaboration du projet de loi de finances.

Cette annonce survient trois jours après la réussite de la journée de grève et de blocages “Bloquons tout” du 10 septembre à laquelle l’Union syndicale Solidaires appelait à participer. Ce premier recul témoigne de la force des travailleurs et travailleuses en grève, aussi bien que de la faiblesse du Premier ministre et du Président de la République. Sous la pression de la mobilisation, ces derniers devront accepter de voir disparaître l’intégralité des mesures qui visent à organiser la confiscation de la production des richesses au profit des capitalistes et des grandes entreprises.

Partout, construisons la grève sur les lieux de travail pour mettre le pays à l’arrêt le 18 septembre. Imposons par la grève et l’action la justice fiscale, sociale, et écologique.