Suite au débrayage réussi le 31 janvier, aux HMI des 7 et 8 février et au mépris du directeur,
GREVE JEUDI 14 FEVRIER

Pour obtenir la prime de 200 € pour tous les agents et tous les mois en l'intégrant dans l'IMT (Indemnité Mensuelle de Technicité), la prime qui compte pour la retraite
Pour obtenir l'arrêt des suppressions d'emplois à la veille de la signature par le DG du prochain contrat triennal de suppressions (risque de 50 000)
Pour des créations d'emplois à hauteur des charges de travail, pour de meilleures conditions de travail,
Pour empêcher la fermeture ou/et les fusions de services, et pour obtenir la création de services sur le littoral

 

Hier et avant-hier, notre directeur appliquait docilement les décisions du DG, aujourd'hui, il prépare son départ en retraite du château, sans se soucier de ses « sujets ».

Depuis toujours, il s'est accommodé des suppressions d'emplois, sans les contester, car il considère qu'on peut les absorber en fusionnant les services. Il a d'ailleurs déclaré : « Les suppressions sont derrière nous, il faut jouer avec les suppressions d'emplois, faire avec les moyens qu'on a ».

Il ne défend ni ses agents, ni ses services et il ment. Quand il dit que les suppressions sont derrière nous, il y en a encore 13 qui tombent le 1er septembre 2019 et 50 000 dans les 3 ans.

Parallèlement, il travaille au plan de destruction du réseau des implantations et des emplois de la DGFiP appelé « bâtir un nouveau réseau ». Il doit rendre ses conclusions le 15 février mais sans en parler ni aux agents ni à leurs syndicats.

ALORS, AGISSONS ENSEMBLE, VITE ET FORT,

PAR LA GREVE ACTIVE :

RDV devant les centres de Dagas, Doumer et Morcenx le 14 fev à 8h42 pour distribuer des tracts au public

et lui faire signer une pétition de soutien !