Après quasiment un an de boycott du CTL en raison de notre opposition radicale à la destruction du réseau de la DDFiP et de l'absence de volonté de la direction de «négocier», Solidaires a décidé de siéger ce 18 février pour tester le directeur. En introduction, nous avons évoqué le conflit déterminé et historiquement long contre leprojet de retraite par point, l'importance de la fiscalité et de la lutte contre les fraudes pour une meilleure répartition des richesses, ainsi que nos propositions pour un financement plus juste de la protection sociale.