Notre bureau national nous a transmis les documents de travail du Comité Technique de Réseau (CTR) qui doit se tenir le 11 décembre prochain.
Les fiches n°1 à 3 détaillent la répartition des 1 568 emplois supprimés à la DGFiP en 2020 (- 76 A+, 87 A, - 99 B, - 752 C), + des transferts divers, pour arriver à un solde de 1 431.
En 2021 et 2022, les suppressions d’emplois devraient être respectivement de 1 800 ETP et 1 600 ETP.
Certes, des informations commençaient à nous parvenir sur une éventuelle clémence de la Direction Générale vis à vis des « petites » directions, et notre nouvelle directrice nous avait suggéré à plusieurs reprises que nous devions nous attendre à une bonne surprise.
Pour le coup, nous apprenons aujourd’hui que la DDFiP de la Lozère ne perdra aucun emploi en 2020 (rappel : - 9 emplois en 2019)!
C’est une excellente surprise qui rompt avec la fâcheuse tradition qui consistait à nous « présenter l’addition » juste avant les fêtes de fin d’année.
Comme quoi, nous avons été entendus et, surtout, notre message a été relayé auprès de la Centrale.
Nous ne pouvons que nous féliciter de cette situation qui ne s’est jamais produite durant les 15 dernières années.
Nous ne sommes que 2 directions territoriale dans ce cas, avec la Guyane.
Et ailleurs, qu'en est-il ?
Dans la région Languedoc-Roussillon, l'Aude perd 4 emplois, le Gard subit 9 suppressions, l'Hérault et les P.-O subissent 16 suppressions..
Autour de nous, l’Ardèche doit rendre 4 emplois, l’Aveyron, 5 emplois, le Cantal 2 emplois et la Haute Loire 3 emplois.
Le Tableau de Gestion des Emplois de Référence des Finances Publiques (TAGERFiP) de la DDFiP 48 comptera donc toujours 152 emplois au 01/09/2020. Ne restera plus qu’à espérer que les emplois vacants pourront être comblés par des arrivées sur le département.
Affaire à suivre.