En raison de la dégradation de la situation sanitaire, à compter de lundi 3 janvier 2022 et pour une durée de trois semaines, le recours au télétravail est rendu obligatoire pour tous les agent·es suffisamment autonomes, équipé·es du matériel informatique nécessaire et dont les activités sont télétravaillables.

La durée hebdomadaire de télétravail est au minimum de trois jours et peut être portée à quatre jours.

Les agent·es à temps partiel doivent être présent·es sur site au moins une journée par semaine.

Les agent·es nomades doivent saisir 3 jours de télétravail par semaine dans SIRHIUS.

L’organisation du télétravail peut être modifiée afin de tenir compte des nécessités de service.

Le ou la responsable de service jugera de l’autonomie suffisante ou non d’un·e agent·e pour l’autoriser à télétravailler.

Pour des raisons de sécurité, un·e agent·e ne doit pas rester seul·e au bureau.

 

Exemple de modification d’organisation du télétravail :

Un·e agent·e qui télétravaille habituellement le lundi et le mardi passe à 3 jours de télétravail le lundi, le mercredi et le jeudi.

Le lundi, il n’a rien à modifier dans SIRHIUS,

le mardi, il doit annuler le télétravail, ce qui nécessite une validation du GRH,

le mercredi et le jeudi, il doit indiquer dans SIRHIUS du télétravail exceptionnel.

 

Un·e agent·e atteint·e du COVID, qui n’est pas en arrêt de travail, dont les activités sont télétravaillables et qui dispose du matériel informatique nécessaire, peut télétravailler.

Au cas où il ne dispose pas de l’équipement nécessaire, ou si ses missions ne lui permettent pas le télétravail, il·elle est placé·e en Autorisation Spéciale d’Absence (ASA).

Un·e agent·e, disposant du matériel informatique nécessaire, dont les activités sont télétravaillables, qui ne souhaite pas porter sa quotité de télétravail à 3 jours, sera informé de la communication de son refus au service RH. La Direction ne prévoit actuellement pas de sanction, mais incitera fortement l’agent·e récalcitrant·e à suivre les consignes d’augmentation de la quotité de télétravail.

 

La DGFiP n’active pas de Plan de Continuité de l’Activité (PCA).

Les agent·es nomades peuvent se déplacer sur place.

Les réunions prévues sont reportées.

Toutes les actions de formation professionnelle prévues en présentiel, sont maintenues.

Actuellement, toutes les demandes de matériel, tel que des écrans de confort, sont mises en attente. Priorité est donnée à la distribution de PC portables à destination des agent·es qui n’en étaient pas encore équipé·es.

La direction n’a plus de téléphones portables disponibles actuellement. Il est recommandé aux agent·es qui en disposent, d’indiquer le numéro de portable sur leurs courriers et courriels.

Les consignes de sécurité sanitaire dans les restaurants administratifs restent les mêmes.

 

Pour Solidaires Finances Publiques, le télétravail doit être consenti, puisqu’il contribue à l’isolement et est un facteur aggravant des Risques Psycho-Sociaux.

Les agent·es affecté·es récemment dans un service, qui souhaitent télétravailler, devraient être autorisé·es à le faire au moins un jour par semaine. La période d’essai de trois mois prévue dans les conventions de télétravail permet de tester l’autonomie des agent·es.

Nous demandons que les agent·es puissent prendre leurs repas dans des salles de réunion si le coin repas ou l’espace de restauration ne permet pas un espace suffisant entre les convives.