En ce jour très particulier de cérémonie d’ouverture des JO, Solidaires Finances Publiques est parvenu à arracher quelques avancées pour les agents et agentes de la DRFIP Paris :
- prise en charge des frais de repas dans la limite de 20 € pour les collègues de Tolbiac privés de toute solution de restauration, la Direction ayant été informée par Solidaires que le restaurant Olympie (ça ne s’invente pas) était fermé aujourd’hui ;
- attribution de 30 minutes supplémentaires pour les collègues de Londres dont la seule solution de restauration proposée a été Réaumur (solution dont nous continuons à dénoncer le fait qu’elle soit tout à fait insuffisante et inopérante pour une grande partie des collègues).
Mais en cette journée qualifiée à tout niveau d’exceptionnelle, la DRFIP Paris n’est clairement pas à la hauteur.
Nous n’avons cessé d’interpeler la DGFIP, tant au niveau local que national, qu’en raison des tensions organisationnelles et sécuritaires, notamment dans les transports, le bon sens aurait été de fermer les sites et d’accorder une autorisation d’absence aux agentes et agents de la DRFIP.
Hier encore nous insistions auprès de la direction sur la situation des collègues qui ne peuvent pas télétravailler, en particulier à la gestion de site.
Mais la DRFIP est restée campée sur sa position de principe selon laquelle aucun cadeau ne doit être fait aux agentes et agents de cette direction, pas même la banalisation des horaires variables pour une journée, quelle que soit leur implication, et quelles que soient les circonstances.
Nous souhaitons bon courage à l’ensemble des collègues qui travaillent aujourd’hui en présentiel, et en particulier à ceux et celles qui prennent le train.
Solidairement,
Le bureau de section Solidaires Finances Publiques Paris