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Bonjour à toutes et tous,


Face à un gouvernement qui reste sourd à notre exigence de retrait de sa réforme des retraites,

nous vous invitons à un nouveau rendez-vous le :

 

Jeudi 16 février 2023 à 15 h00 – Place Châtelet à CHARTRES

 

Venez nombreux !!!

 

Vous l’avez remarqué, le standardiste en chef de la DDFIP s’est engagé personnellement pour vous convaincre de l’importance de répondre aux appels des usagers.

A grand renfort de communication sur Ulysse local, l’homme à tout faire de cette direction se met en avant : « Allo (...) bonjour (...) laissez-moi vos coordonnées (...) on vous rappellera. Mais Monsieur je travaille, …. ». Il voudrait décourager, qu’il ne s’y prendrait pas autrement ! Et en plus le coût exorbitant de la piètre prestation de cet intervenant est facturé à l’administration !

Belle leçon de service public.

Mais nous le savons, ces fins stratèges ne maîtrisent pas que le téléphone, ils sont avant tout des experts du chiffre.

Alors, lorsque le taux de « décroché » n’est pas à la hauteur, dans les SIE, SDIF, SIP et autres SGC, tout est permis.

Rappelons d’abord que les nombreuses lacunes du système téléphonique actuel (transfert d’appels vers portables, standard défaillant,…), qui soudainement ressurgissent, nous les avons signalées à maintes reprises avec pour seul retour une expression d’impossibilité technique.

Sur le fond, l’homme providentiel est absent.

Les changements perpétuels (applications, téléprocédures, réglementation,…) sont balayés d’un revers de la main. C’est « le coût d’entrée » à payer nous dit-on, après ce sera mieux ! Et bien souvent, c’est ailleurs qu’il faut aller chercher les pas à pas à destination tant des collègues que des usagers.

Pour nous, vous êtes des professionnels pour qui la qualité de l’accueil est une priorité.

Pour certains, c’est d’ailleurs l’unique mission. Depuis 2015, ils assument la charge de renseigner la France entière. Ils devaient, à l’époque, soulager les services. Or, force est de constater qu’aujourd’hui les appels sont toujours omniprésents dans l’ensemble des services, sans les effectifs nécessaires. Quant au centre de contact, il répond à l’ensemble des sollicitations de la population qui ne s’y retrouve plus !

Pour nous, la conclusion est sans appel (!), la minute préconisée ne suffit pas et s’il faut y passer un quart d’heure c’est autant de temps gagné sur de futurs contacts.

Dès lors, pas de pression, aucune ingérence dans vos communications téléphoniques n’a lieu d’être.

A bon entendeur ...