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Vous l’avez remarqué, le standardiste en chef de la DDFIP s’est engagé personnellement pour vous convaincre de l’importance de répondre aux appels des usagers.
A grand renfort de communication sur Ulysse local, l’homme à tout faire de cette direction se met en avant : « Allo (...) bonjour (...) laissez-moi vos coordonnées (...) on vous rappellera. Mais Monsieur je travaille, …. ». Il voudrait décourager, qu’il ne s’y prendrait pas autrement ! Et en plus le coût exorbitant de la piètre prestation de cet intervenant est facturé à l’administration !
Belle leçon de service public.
Mais nous le savons, ces fins stratèges ne maîtrisent pas que le téléphone, ils sont avant tout des experts du chiffre.
Alors, lorsque le taux de « décroché » n’est pas à la hauteur, dans les SIE, SDIF, SIP et autres SGC, tout est permis.
Rappelons d’abord que les nombreuses lacunes du système téléphonique actuel (transfert d’appels vers portables, standard défaillant,…), qui soudainement ressurgissent, nous les avons signalées à maintes reprises avec pour seul retour une expression d’impossibilité technique.
Sur le fond, l’homme providentiel est absent.
Les changements perpétuels (applications, téléprocédures, réglementation,…) sont balayés d’un revers de la main. C’est « le coût d’entrée » à payer nous dit-on, après ce sera mieux ! Et bien souvent, c’est ailleurs qu’il faut aller chercher les pas à pas à destination tant des collègues que des usagers.
Pour nous, vous êtes des professionnels pour qui la qualité de l’accueil est une priorité.
Pour certains, c’est d’ailleurs l’unique mission. Depuis 2015, ils assument la charge de renseigner la France entière. Ils devaient, à l’époque, soulager les services. Or, force est de constater qu’aujourd’hui les appels sont toujours omniprésents dans l’ensemble des services, sans les effectifs nécessaires. Quant au centre de contact, il répond à l’ensemble des sollicitations de la population qui ne s’y retrouve plus !
Pour nous, la conclusion est sans appel (!), la minute préconisée ne suffit pas et s’il faut y passer un quart d’heure c’est autant de temps gagné sur de futurs contacts.
Dès lors, pas de pression, aucune ingérence dans vos communications téléphoniques n’a lieu d’être.
A bon entendeur ...
Bonjour à toutes et tous,
Après une journée du 7 février un peu en retrait (4 000 manifestants à Chartres et 16 % de grèvistes à la DDFIP 28) :
Faisons du 11 février une journée forte contre le projet de réforme des retraites.
Rappel : Manifestation 10h30 devant le théâtre de Chartres avec un froid sec !
Nogent le Rotrou, Manifestation 11H Mendes France,
Chateaudun, retraite au flambeau avec rendez-vous à 17h30 sur la place devant la mairie.
Bonjour à toutes et tous,
Ce 31 janvier 2023 a été marqué une nouvelle fois par de forts rassemblements aux quatre coins du département, comme partout dans les territoires, avec pas loin de 10 000 personnes en Eure et Loir.
Les grèves se poursuivent avec cette fois ci 3 collègues sur 10 ayant cessé le travail à la DDFIP 28.
La population rejette ce projet de réforme qui constitue un recul inacceptable de notre droit à la retraite.
Deux nouvelles journées d’actions intersyndicales et interprofessionnelles sont prévues les mardi 7 et samedi 11 février avec des rassemblements à Chartres devant le théâtre, à 14h30 le 7 et à 10h30 le samedi.
Soyons de plus en plus nombreuses et nombreux, uni.e.s et solidaires pour démontrer notre détermination.
Retrouvons nous entre collègues, entre amis, en famille pour dire :
non, NON et NON AUX 64 ANS ….
et CE N'EST PAS NEGOCIABLE
10 000 manifestants dans les rues selon la police, une trentaine d'adhérents et d'adhérentes (certaines ayant fait le déplacement depuis Dreux) selon Solidaires Finances Publiques et au total une belle représentation des agents de la DDFIP pour cette première journée de mobilisation.
Toujours des chiffres, pour vous dire également qu'environ 4 collègues sur 10 avaient cessé le travail.
Bref, nous avions le sentiment d'avoir été au bout de nos convictions.
Alors, rejoignez nous lors des prochaines journées, manifestons encore plus nombreuses et nombreux.
Rien n'est acté, c'est dans la durée qu'il nous faut exprimer notre refus.
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