Le gouvernement a lancé une vaste opération de communication pour promouvoir son plan en s’appuyant sur la hausse du nombre de « points de contact ». Cette communication est spécieuse et trompeuse. En réalité, si ce plan se met en œuvre, la DGFiP subira une chute brutale du nombre de ses services territoriaux ainsi que de nombreux transferts de services et de missions.
Avec, au surplus, une volonté d'intensifier des suppressions d’emplois déjà insupportables. Le plan proposé, auquel il faut ajouter les externalisations de missions (missions «topo» vers l’IGN, expérimentation d’agences comptables, etc), est nocif pour les missions et pour les personnels. Il ne vise qu’à instaurer un service public « low-cost » qui provoquera de nombreux dégâts humains tant pour les usagers que pour les personnels …