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Le projet de loi fonction publique va détruire la fonction publique et plus généralement les services publics. On assiste ainsi à une vaste opération de restructurations, destructurations, externalisations, privatisations et abandons de missions enclenchées avec Action Publique 2022. Le tout bien sûr avec toujours moins d'emplois (120 000 suppressions sur le quinquennat) et toujours plus de coupes budgétaires (60 Mds €).

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L’ordre du jour du CDAS :
1) approbation du PV de la réunion du 06/11/2018
2) présentation de la note d'orientations ministérielles 2019 pour l'action sociale et nouveau
règlement intérieur
3) Bilan des Crédits d'Actions Locales (CAL 2018) et répartition des CAL 2019
4) programmation des sorties 2019

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Lundi 15 avril, l'intersyndicale de la DDFiP des Landes a été reçue par le préfet, en présence du directeur.

Il s'agissait pour nous de faire savoir au plus haut représentant de l'Etat dans le département que les agent.es des Finances Publiques ne se résignaient pas à voir leur administration et leur savoir faire disparaître à l'horizon 2022. Sans trop d'illusions, nous avons aussi essayé d'en savoir plus sur les conséquences concrètes de la « géographie revisitée » dans les Landes.
Nous lui avons donc exposé les motifs de notre mécontentement (suppression d'emplois, de services et de missions, projet de loi fonction publique…), qui ont déjà conduit à 4 jours de grève, et avons dénoncé l'opacité imposée par le directeur sur ses projets de fermetures et de fusions de services.

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Nous avons changé d'ère. Ce qui nous est imposé n'est pas la continuité de ce que nous vivons depuis plus de dix ans. Après des années de suppressions d’emplois, de restructurations et de tension sur le pouvoir d’achat, le gouvernement veut désormais imposer un dynamitage en règle de la Fonction publique et de la DGFiP : toutes les missions, tous les services, tous les agents sont concernés.

La DGFiP est directement sous la menace :
- d’un plan massif de suppressions d'emplois (de 20 000 à 30 000 envisagées d'ici 2022),
- d’une réduction du champ des missions (externalisations),
- d’une concentration extrême du réseau territorial avec mise en œuvre du « Front Office/Back Office »,
- d’une déréglementation, déjà entamée, des règles de gestion.

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