- Procès-verbal de la séance du 09 mars 2020 (pour approbation) ;
- Opérations NRP (pour avis) ;
- Bilan accueil et campagne (pour information ) ;
- Mesures Marianne (pour information) ;
- Bilan CSP à distance et partenariat (pour information) ;
- Ponts naturels (pour avis) ;
- Questions diverses.
Les 3 organisations syndicales Solidaires Finances Publiques, FO DGFiP et CGT Finances Publiques ont décidé de ne pas participer à cette réunion et ont transmis la déclaration liminaire suivante :
Madame la Présidente,
Une fois de plus, vous nous réunissez en audio conférence. Nous estimons que cette modalité n’est pas adaptée à la présente réunion, dont l’ordre du jour est particulièrement chargé et important de par les sujets abordés. A minima, nous aurions souhaité que cela se déroule en visioconférence, voire, moyennant une limitation du nombre de participants, en présentiel, comme lors du CTL du 9 mars dernier, et comme vous l’avez fait récemment avec les chefs de service.
Ensuite, au vu du volume important de documents joints à l’ordre du jour, nous craignons qu’un certain nombre de sujets ne puissent être approfondis et il aurait été judicieux de ne consacrer la réunion qu’au seul point du NRP.
Par ailleurs, à la visioconférence du 29 octobre, dédiée à la crise, toutes les organisations syndicales ont demandé au directeur général la suspension immédiate de toutes les réformes, notamment celles des opérations prévues pour le tout début de l’année, tout en réaffirmant, leur opposition toujours farouche à ces projets destructeurs. Le contexte est suffisamment anxiogène pour les agents. Leurs charges de travail, les sujétions et les retards accumulés du fait de la crise sanitaire, ainsi que le manque de personnels dans les services, sont suffisamment lourds pour ne pas en rajouter. Leur imposer les réformes, restructurations, regroupements de service, déménagements dans la période, est a minima contre-productif, voire scandaleux et carrément indigne.
En outre, ces derniers mois, et encore plus depuis la rentrée, à la direction, un certain nombre de collègues se plaignent d’être régulièrement stigmatisés, injustement rappelés à l’ordre, et de subir des vexations.
Cette situation est parfaitement inadmissible et il convient de revenir très vite à des relations de travail plus humaines, plus courtoises et plus respectueuses.
Concernant plus particulièrement les organisations syndicales, nous demandons davantage de respect par rapport à nos engagements et au mandat donné par nos collègues, davantage de transparence, et la communication de tous les éléments utiles à l’exercice de notre rôle, ce qui est bien loin d’être le cas actuellement.
Dans l’immédiat, nous vous informons que nous ne participerons pas à la réunion de ce jour.