Cette proposition qui ne constitue pas un cadeau, les agents finançant un pont naturel, enocre une fois "imposé", par un jour de congé, présente néanmoins l'intérêt de "minorer" les méfaits de l'ordonnance du 16 avril. En effet, ce jour posé en congés, comme tous les autres posés d'ici au 31 mai (selon l'ouverture accordée par Olivier Dussopt) viendront en déduction des jours qui nous seraient volés au titre de la période du 17 avril à la fin de l'état d'urgence (aujourd'hui fixé au 31 juillet).
La direction vient de nous faire part ce matin, après que Solidaires Finances Publiques en ait fait la demande, de son "esprit d'ouverture" sur ce sujet.
L'information devra être confirmée dans la journée.
Pour mémoire, notre précédent article sur cette ordonance scélérate.
Tous les jours de congés posés jusqu'au 31 mai, viendront en déduction des 5 jours volés au titre de la seconde période. On vous dit ca, on vous dit rien !