Instances
Les documents de travail à l’appui du Comité Social d’Administration Local (CSAL) du 9 janvier 2024 viennent de nous parvenir. Ils nous fournissent la répartition des suppressions locales d'emplois au 1er janvier 2024.
Solidaires Finances Publiques, fidèle à sa pratique, ne siègera pas à ce premier CSAL. Nous refusons, en effet, de discuter de la pertinence de telle ou telle suppression sur telle ou telle structure.
Nous les condamnons toutes fermement !!!
Nous communiquions le 14 décembre sur le quantum et les catégories des suppressions locales
Tu trouveras à suivre en cliquant sur l'image le détail de ces suppressions locales par service :
Tu trouveras en pièce jointe la déclaration liminaire et le compte rendu de la Formation spécialisée du 18 septembre 2023, en cliquant sur les images à suivre.
Tu peux lire ici notre dernier tract sur les projets immobiliers fous de notre Directeur.
Tu trouveras à suivre le Compte rendu de la Formation Spécialisée (ex CHSCT) qui s'est tenue le 26 avril 2023.
En prime la déclaration liminaire lue en séance et un focus sur les fiches de signalements.
LES AGENTES ET AGENTS DU SDIF DÉCIDÉS À SE FAIRE ENTENDRE
Ce sont près d'une trentaine de collègues du Service Départemental des Impôts Fonciers (SDIF) d'Angers, de Cholet et de Saumur qui, avec l'ensemble des représentants élus des personnels au comité social d'administration local (CSAL) ont envahi le CSAL, du 20 avril 2023 (boycotté en première convocation le 17 avril) pour exprimer leur mal-être et leur colère, au regard de l'exercice dégradé de leurs missions.
Une déclaration intersyndicale a été lue, à l'occasion de cette réunion, boycottée une nouvelle fois, pour laisser s'exprimer les collègues du SDIF.
Trouve ci-après, la décaration intersyndicale lue face à la Direction (clique sur l'image pour voir l'intégralité de la déclaration et à suivre un rapide compte rendu de ce moment d'expression directe des agentes et agents du SDIF
Pendant près de 2 heures, Le Directeur a pu prendre la mesure des difficultés concrètes, pratiques auxquelles sont confrontés les agentes et les agents du SDIF, mais surtout la mise à mal de leur conscience professionnelle provoquée par des applications défaillantes qui génèrent souffrance et perte de sens.
Là où les applications sont sensées simplifier la tâche des collègues, non seulement elles s'avèrent un frein, avec un temps de traitement décuplé pour certaines opérations, mais parfois elles ne leur permettent tout simplement pas de faire leur travail.
Ces sujets, bien que remontés à la DG au bureau GF3A semblent être totalement ignorés même si le Directeur indique s'être fait le relais, auprès à la Direction Générale, des difficultés qu'il avait identifiées.
Il a été convenu que l'état des lieux catastrophique du SDIF, tel qu'il apparaît dans la déclaration qui a été lue et qui lui a été remise et tel que les collègues ont pu en témoigner de façon direct au travers de différents cas concrèts fassent l'objet d'une synthèse, pour que d'ores et déjà, soient mise en oeuvre des solutions concrètes et immédiates.
Nous attendons désormais des réponses concrètes aux préoccupations qui ont pu être exprimées.
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