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Ce matin, les organisations syndicales étaient conviées à une visio avec M Girault concernant l’obligation vaccinale pour les collègues travaillant dans l'enceinte d’un établissement hospitalier.

 Dans notre direction, seul·es les collègues de la trésorerie Boulogne CH sont concerné.es par cette obligation. La cheffe de poste et son adjoint ont été averti.es, les collègues devront fournir un pass sanitaire avant le 15 septembre et être vacinné.es au 15 septembre.

 SOLIDAIRES Finances Publiques 62 a rappelé son opposition à d’éventuelles sanctions vis-à-vis des collègues qui n’auraient pas le parcours vaccinal complet ou qui ne souhaiteraient pas se faire vacciner. M Girault a d’abord émis la possibilité de voir au cas par cas avant de nous indiquer qu’il pourrait y avoir des sanctions si l’obligation n’était pas respectée. SOLIDAIRES Finances Publiques 62 préfère que d’autres alternatives soient proposées comme le télé-travail ou un détachement.

 Une visio avec la DG et la trésorerie Boulogne CH est actée pour demain. SOLIDAIRES Finances Publiques 62 a demandé des explications sur le pass sanitaire : les collègues devront-il·elles, d’ici le 15 septembre, le présenter régulièrement et pourront-ils se faire tester (par des tests PCR) à l’hôpital et sur le temps de travail ? De plus, nous souhaitons connaître les modalités de contrôle à partir du 15 septembre. M Girault a indiqué prendre contact avec le centre hospitalier de Boulogne afin que les collègues puissent bénéficier de tests sur ce lieu et pendant les horaires de travail. Concernant le contrôle, M Girault précise que c’est à l’employeur de vérifier le parcours vaccinal, soit par le service RH soit par la cheffe de service sans en connaître encore les modalités.

SOLIDAIRES Finances Publiques 62 réaffirme une nouvelle fois son opposition à toute sanction.

 Les collègues EDR intervenant dans cette structure seraient aussi concerné.es par cette obligation, par contre, pour des interventions ponctuelles (par exemple, intervention de la CID), il n’y aurait pas de pass sanitaire. Il n’y a donc pas à ce jour, d’obligation dans les autres services (ni pour les agent.es ni pour les contribuables), cependant M Girault préconise que les collègues nomades (vérificateurs, géomètres, huissiers), qui auraient des interventions dans des établissements où le pass sanitaire est exigé, soient vacciné.es.

 Le service médical a envoyé un message hier pour que les collègues fassent remonter leur état vaccinal, la direction indique que ces données sont confidentielles et que la direction, notamment le service RH, n’y aura pas accès. L’infirmière indique que ces données permettront d’étudier au mieux les aménagements de poste.

M. Girault rappelle que le principe est le volontariat et qu’il n’a pas l’intention ni le droit d’aller plus loin sur l’obligation vaccinale. En lien avec le service médical, les agent.es ayant un souci pour trouver un créneau de vaccination pourront être redirigé.es vers le vaccinodrome de Lièvin ou d’autres structures si celui-ci était trop éloigné.

 La transmission du virus est actuellement assez forte, bien qu’à la DDFiP62, il n’y ait pas de recrudescence. Pour le moment, il n’y a donc pas de retour au télé-travail accru. Les ASA pour garde d’enfants sont toujours d’actualité jusque fin août.

 Prenez soin de vous.

 Vous trouverez ci-dessous le communiqué de Solidaires « oui à la vccination, non au passeport sanitaire et aux licenciements »

 pdf2021-07-23_communique_vaccination_et_pass_sanitaire.pdf

 

Certain.es d’entre vous les attendaient, vous trouverez sur ulysse 62 les propositions relatives aux promotions de grade par tableau d'avancement de l'année 2021.

http://dfp620.intranet.dgfip/actualites/locales/2021/actus_locales_juillet2021.htm#actu4

SOLIDAIRES Finances Publiques 62 regrette que la direction, que nous avons contactée ce matin, n’ait pas communiqué sur la date de cette publication

 

Aujourd'hui, un CTL est convoqué pour une seconde présentation des points ayant recueilli un vote unanime « contre » des représentant·es du personnel élu·es pour cette instance.

Les documents envoyés pour cette seconde convocation sont exactement identiques à ceux présentés le 6 juillet.

Les débats auraient pu être constructifs mais notre directeur balaie nos arguments d'un revers de main et continue la destruction de notre administration à marche forcée, sans tenir compte de la période difficile que nous traversons et des difficultés rencontrées lors des précédentes réorganisations.

Aucun bilan n'a été tiré : « il est trop tôt » et pourtant on continue :

  • à détruire des trésoreries qu'on a laissé s'épuiser pour les regrouper dans d'énormes structures industrielles et déshumanisées,

  • à transférer des missions avec quelquefois un nombre d'emplois correspondant, alors que souvent les agent·es ne suivent pas et que ceux·elles qui décident de les suivre se retrouvent sur d'autres missions dans une grosse structure,

  • à détruire notre service public en réduisant l'accueil à des permanences qui ne sont pérennes que dans l'esprit de ceux·elles qui donnent un sens éphémère à ce terme,

  • à détruire notre réseau pour mieux continuer à y supprimer des emplois obéissant ainsi à une politique d'économies budgétaires présentée comme un progrès nécessaire et défendue à l'aide d'un discours auquel personne ne croit.

Nous ne nous sommes pas présenté·es à cette instance et continuons à réaffirmer notre opposition ferme aux suppressions d'emplois, au NRP, à la destruction de notre administration et à la disparition du service public.