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Salut à toutes et à tous.

Vous retrouverez ici, et dans la série d'articles rendant compte de notre action, les résumés des avis votés en séance par vos représentants du personnel lors du CSAL du 13 juin 2024, et les réponses qui nous ont été parfois apportées. Les documents complets doivent être publiés sur Ulysse ici, conformément à l’art. 98 du décret de 2020 :

http://dircofi33.intranet.dgfip/direction/dialogue_social/page_CSAL.htm

Bon, passons sur le mauvais jeu de mots … le plan local de formation pour 2024, présenté par la Direction au CSAL fait, comme chaque année, apparaître une grande diversité de formations, qui apparaissent utiles à l’exercice des missions de contrôle fiscal.

Pour autant, nous constatons à nouveau qu’à deux exceptions près, toutes ces formations « locales » sont prévues d’être tenues à Bordeaux, dont l’accès aux agents des brigades extérieures est de plus en plus difficile compte tenu des grandes difficultés de circulation et de stationnement sur l’agglomération bordelaise.

Nombre de stagiaires doivent venir la veille de la formation, et / ou partir très tôt et rentrer très tard chez eux pour une session parfois d’une seule journée, voire d’une demi-journée.

Nous avons proposé en juin 2023 qu’une réelle inflexion soit mise en œuvre pour faire en sorte que les actions de formations, initialement prévues seulement à Bordeaux, se tiennent par exemple :

    • à NIORT pour le bassin Nord,

    • à MONT-DE-MARSAN pour le bassin Sud.

Un recensement complet des candidatures par la direction, hors l’applicatif informatique SEM@FOR, qui a montré ses imperfections (absence de proposition automatique de formations enregistrées au fil de l’eau, de relance automatique, recherche « à la main » des convocations dans l’applicatif informatique, les codes de la formation différents, etc.), est nécessaire pour donner de la visibilité à tous les agents, particulièrement à celles et ceux qui résident dans les brigades extérieures au pourtour de la région Nouvelle Aquitaine.

Les élus, représentants du personnel souhaitent que les propositions faites soient suivies d’effets, afin que la situation ne se dégrade pas à nouveau en 2024, comme en 2023.

Les élus souhaitent aussi que les agents puissent disposer d’un applicatif informatique de meilleure qualité qui intègre des modules automatiques, par exemple par courriel aux agents d’un périmètre donné, des formations professionnelles proposées par les différentes structures, un peu comme l’applicatif « Passerelle » pour les postes ouverts aux mouvements de mutation et de mobilité professionnelle ?

Réponse du Président-Directeur :

Un ange passe …

DRH : sur ces sujets là …

Dir adjoint : pour le bassin nord, on se cale sur les antennes de ce qui existe à POITIERS, car une antenne de l’ENFIP existe ; donc plutôt POITIERS que NIORT.

Pour le bassin Sud, les collègues tiennent compte de la proximité, mais aussi des dates des forpro. On essaie pour autant de couvrir les bassins sud et nord. Sur le bassin sud, il n’y a pas d’antenne de l’ENFIP, mais on va essayer de faire mieux.

Pour SEM@FOR, le sujet, c’est l’appropriation de l’applicatif, mais aussi, les imperfections de l’applicatif, constaté y compris par le directeur de l’ENFIP.

« Il faut continuer sur l’appropriation, car il va y avoir des paliers applicatifs nouveaux ; c’est l’agent qui est responsable de sa formation ; à la DIRCOFI, la mise en place du passeport de formation n’est pas remis en question. Au niveau de la direction, des courriels d’alertes sont envoyés fréquemment pour informer sur des candidatures vacantes. »

A mettre dans le paysage les campagnes nationales de formation pro, par exemple ALPAGE CFIR. Le PLF va être déployé pour bien alerter les agents.

Dir adjoint : le CREP est aussi un outil pour les agents, les chefs de service pour faire remonter un certain nombre de besoin au niveau des besoins en forpro.

Le directeur répond sur le souhait d’un outil : la ligne de la dgfip, c’est qu’on ne veut plus d’applicatif d’initiative locale. Exemple du dispositif de réservation des voitures de service ; la Dg avait dit « stop » et on est toujours en attente du logiciel qui doit venir de la centrale.

« SEM@FOR est un outil perfectible, comme tout outil nouveau ; il y a des gens très compétents qui travaillent à l’amélioration de cet outil, donc on attend. »