Salut à toutes et tous,

Vous trouverez ci-après un article sur l'action de nos camarades de la section des PA de Solidaires Finances Publiques :

https://sections.solidairesfinancespubliques.info/r35/actualite/csal/114-csa-l-du-24-01-2024.html

SFP DIRCOFI R35

Le CSAL (Comité Social d'Administration Local) dédié au vote du règlement intérieur des instances de dialogue social était convoqué en seconde instance ce jour, suite à un vote unanime CONTRE en première instance. Aucune de nos revendications mises en ligne sur le site de la DIRCOFI CENTRE-OUEST n'a été retenue par le Président à l’occasion de cette seconde instance. En réaction, l'ensemble des organisations syndicales a quitté la séance.

Qu'on se le dise : les instances de dialogue social mises en place à la DIRCOFI CENTRE-OUEST ne laissent de place ni au dialogue, ni au social mais seulement au mépris des représentant.e.s du personnel que vous avez élu.e.s et donc à votre mépris.

La section DIRCOFI CENTRE-OUEST de SOLIDAIRES Finances Publiques usera de toutes les formes possibles de défense de vos intérêts et de vos conditions de travail.
Plus que jamais, nous aurons besoin de vous.

ctl emploi 24

Salut à toutes et tous,

Vous trouverez ci-après un article sur l'action de nos camarades de la section des PA de Solidaires Finances Publiques :

https://sections.solidairesfinancespubliques.info/640/282-csal-emplois-janvier-2024.html

Qu’est ce qu’un CSAL emploi ?

Chaque année la direction convoque les organisations syndicales représentatives du département à un CSAL (comité social d’administration local) emploi. Il s’agit de se réunir autour d’une table avec la direction et d’écouter sagement la parole directionnelle expliquant dans quels services ils vont supprimer des emplois. Il était reconvoqué le 18 janvier 2024.

Cette année le directeur va nous expliquer que des emplois seront créés.

 + 1 C + 4 B + 1A au cc pro qui dès le début était en sous effectif, qui de par son activité est une fonction tout à fait délocalisable et on se battra afin qu’il reste sur le 64.

+ 1B à la BCR de PAU ( - 1 B il y a deux ans au PCE) = 0

+ 3 au SDIF de Pau et Bayonne, nous connaissons déjà l’état du service en sous effectif voulu puisque Solidaires FIP 64 avait obtenu la visite de la formation spécialisée dans ce service. A croire que la direction à eu peur d’une grave conséquence.

Ces emplois NE SONT PAS CRÉES NON ! Ils sont tout simplement transférés d’autres départements et ils arrivent en effet dans le 64, pouvons-nous nous en féliciter ? N’avons-nous pas compris que dans un avenir proche ce sont peut-être nos suppressions qui financeront une antenne dans un autre département ? Et là continuerons-nous à siéger dans cette instance ?

N’oublions pas que le solde pour la DGFIP est tout de même de 200 suppressions sur le national.

Pourquoi les élu(e)s de Solidaires Finances Publiques 64 n’ont pas siégé au CSAL reconvoqué du 18 janvier 2024 ?

pastille

Salut à toutes et tous,

Vous trouverez ci-après la lettre ouverte au DDFIP40 de nos camarades de la section des Landes de Solidaires Finances Publiques :

https://sections.solidairesfinancespubliques.info/400/325-lettre-ouverte-au-directeur-2.html 

Monsieur le directeur,

Les mauvaises nouvelles, ça suffit !

L’année 2024, selon vos dires, devait être celle sans restructurations ni réformes. Mais entre Noël et le jour de l’an, nous apprenons qu’une nouvelle expérimentation / restructuration va encore frapper deux services des Landes, les SIE.

Côté emplois, malgré quelques insuffisantes créations, le compte n’y est toujours pas et tous les services vont continuer de subir la pénurie.

Concernant le transfert du recouvrement forcé des SIE vers le PRS au 1er septembre 2024 (et bientôt des SIP), Solidaires Finances Publiques dénonce votre méthode et le fait que vous nous ayez volontairement caché les informations.

En effet, nous découvrons ce transfert dans les documents préparatoires au CSAL de janvier 2024 que nous avons reçus fin décembre 2023 alors que nous étions présents en CSAL le 11 décembre, et que vous aviez déjà toutes les informations.

Nous sommes encore plus en colère car ce CSAL de décembre était notamment consacré aux charges des SIE. Nous étions aussi présents au groupe de travail charges emplois, un GT durant lequel vous auriez pu annoncer que la direction des Landes s’était portée volontaire pour cette expérimentation.

Ce déni de dialogue social est extrêmement grave et compromet durablement la confiance des agents envers leur direction. De plus, les inquiétudes sont fortes quant à l’avenir des agents concernés et leurs règles de gestion. Que signifie cette notion de détachement couplée au travail à distance ? Quid de leurs possibilités de mutations au 1er septembre 2024, quid au 1er septembre 2025, quid de leurs priorités ?

Dans ces conditions, comment ces agents peuvent-ils être sereins pour les 2 années à venir ?

La méthode employée est tout simplement le remake de la méthode du NRP, celle où en bon père de famille vous expliquiez que tout allait bien se passer…

Pourtant bon nombre de nos collègues en ont fait les frais !

Les agents des Landes se remettent à peine des restructurations subies, des mutations imposées, des suppressions d’emplois massives. Était-il nécessaire de se porter candidat pour une nouvelle expérimentation qui aura des conséquences sur les emplois, les affectations et le moral des agents ?

Il n’est pas trop tard pour abandonner cette funeste expérimentation.

Concernant les emplois, nous apprenons qu’il y a quelques créations, mais elles sont notoirement insuffisantes au regard des besoins des services et des attentes des contribuables. Pourtant, lors du groupe de travail charges et du dernier CSAL, nous avions fortement argumenté en faveur d’un nombre important de créations d’emplois pour notre direction.

De plus, nous apprenons aussi que vous avez décidé de redéployer un emploi, ce à quoi nous nous étions fortement opposés cet automne.

Ensuite, au-delà des nécessaires créations d’emplois, les services ont également besoin d’applicatifs informatiques opérationnels et fiables, ce qui est loin d’être le cas en ce moment.

Les agents, eux, ont besoin d’un climat social apaisé, de conditions de travail correctes, d’une reconnaissance financière, d’une hiérarchie à l’écoute.