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Ce mardi 21/03/2023, un rassemblement s'est tenu devant le Palais de Justice d'Angers en soutien à un camarade syndicaliste FO, de biopole mis en cause au titre de la lutte qui se déroule actuellement à Angers pour le ramassage des ordures, ce en parallèle de la mobilisation contre la réforme des retraites.

Ce camarade devait se présenter au tribunal judiciaire, saisi en référé par ANGERS LOIRE METROPOLE pour une comparution immédiate.

Nous tenions à être présent pour manifester notre soutien et notre indignation.

Notre soutien est acquis à un camarade de lutte et nous rappelons notre solidarité avec tout militant qui se mobilise pour une cause et pour le bien de tous et ce, quel que soit l'organisation syndicale dont il se revendique. Le droit de grève est un droit constitutionnellement reconnu, il ne saurait être inquiété par la justice au titre de ses actions militantes.

Notre indignation s'érige devant la choix affiché par Angers Loire Metropole de s'engager sur cette voie du mépris de ce même droit, du mepris de ses agents en lutte et en grève qui ne sont toujours pas entendus, mais également du mépris de la liberté de débattre, symptôme essentiel d'une société saine tant qu'elle est préservée. Nous ne pouvons que leur recommander de se rappeler la citation qui suit et la dignité qui en découle et qui leur fait défaut à ce jour:

"Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'à la mort pour que vous ayiez le droit de le dire."

manifestation palais de justice biopole

 

2023 03 20 19 32 19 Fil dactualités Courrier entrant EL MEZDARI Dalila 49 Courrielleur MCE

2023 03 20 18 06 25 2023 03 23 Tract Intersyndical v4 1.pdf Adobe Acrobat Reader 32 bit

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Ici, une très belle initiative de nos camarades de Sud Educ :

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NOUS SOMMES FORT·ES, NOUS SOMMES FIÈR·.ES· NOUS SOMMES (à) SOLIDAIRES !!!
 
Nous étions nombreux et nombreuses, quoique pas assez, membres ou sympathisant·e·s de Solidaires à être dans la rue ce jeudi soir.
Nous avons relayé·es les appels à manifester, à se rassembler, comme partout dans le pays... Les photos des journaux, les télés l'ont abondamment montré.
 
Si les manifestations de rues "sauvages", les éventuelles dégradations de façades de banques, d'agences d'intérim ou d'assurances ou la nouvelle discipline olympique qu'est devenu le jeté de poubelles sur les Préfectures ne sont pas notre culture syndicale, fût-elle de luttes...
 
Nous ne pouvons que comprendre la colère qui s'exprime face à ces symboles du désordre libéral, austéritaire et autoritaire...
A Angers, dans le Maine-et-Loire, à l'échelle française ou européenne, les puissant·e·s, les dirigeant·e·s politiques qu'ils ou elles soient démocratiquement élu·es, ou mal-élu·es, usent des mêmes artifices; de pseudos rencontres de dialogue social, d'hypocrites réunions où ils et elles discourent des heures en usant de sémantique et de rhétorique. Voyez et écoutez derrière quoi se cache Mme Borne ! Voyez et écoutez M. Dussopt ! Voyez et écoutez M. Attal ! Voyez et écoutez, plus près de nous, Messieurs Béchu, Verchère, Masséglia, Bourdouleix ou Mmes Blin, Dupont... N'oublions pas le sieur Macron et tous les responsables économiques du Medef.
 
Nous n'avons cessé de prévenir, d'alerter que la colère était forte, puissante. Il fallait que le gouvernement actuel, comme les gouvernements précédents, cessent leurs attaques permanentes. Il n'en a rien été.
Ce gouvernement et ce président porteront la responsabilité de ce qui peut arriver.

A Solidaires, conscient de notre devoir moral et de notre responsabilité, nous appelons chacun et chacune à se rassembler, à manifester, à contester...
 
Avec calme et détermination mais, en restant uni·es quant aux modalités d'actions choisies face à celles et ceux qui nous attaquent; nous, nos enfants, nos petits-enfants...
 
Nous appelons tous les travailleurs et travailleuses, tous les citoyens et citoyennes de ce pays à descendre dans la rue et à faire grève également.
 
Nous ne pouvons attendre les motions de censure politique. Une nouvelle fois, il faut être clair. Nous sommes à la croisée des chemins.
Soit nous rentrons chez-nous la tête basse, soit nous prenons la rue et bloquons l'économie par la grève. Seule cette deuxième solution permettra de gagner.
 
Il faut cesser de se cacher derrière des excuses individuelles. Nous devons êtres nombreux et nombreuses. Bien plus que nous ne l'avons été jusqu'à présent.
 
Chacun et chacune doit être conscient de sa propre responsabilité et agir. Ici et maintenant.
 
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pottok charette fondTransparentOPERATION POTTOK,

Retour à la délégation interrégionale

Ce mardi 27 septembre, une délégation de représentant.es des sections Solidaires Finances Publiques des régions Bretagne, Centre et Pays de la Loire s'invitait à nouveau, dans les locaux de la délégation interrégionale.Cette fois la rencontre avec le Délégué du Directeur Général a bien eu lieu.

A suivre notre compte rendu :

2022 09 30 17 45 07 pottok 2 rennes 27 septembre 2.pdf Adobe Acrobat Reader DC 32 bit