Actualités
Vous trouverez ci-dessous notre déclaration liminaire du CSAL du 22 septembre
Déclaration liminaire du CSAL du 22 septembre 2023
Alors que la rentrée des classes est quelquefois synonyme de bonnes résolutions, notre gouvernement continue sur le même cap : on avance, on n’écoute personne et surtout on occupe le débat afin de détourner l’attention.
On ne parle pas du manque de profs, des problèmes d’inscription dans les facs, des difficultés à trouver des solutions pour permettre aux élèves qui se retrouvent sans école, d’étudier, des étudiants plongeant dans la précarité, on discute chiffons.
On tente de se montrer écolos, tout en diabolisant les organisations qui la défendent, sans prendre de vraies mesures qui risqueraient de mécontenter de grands groupes industriels. Six des 9 limites planétaires sont dépassées et aucune annonce exceptionnelle de la part du gouvernement.
On évoque l’inflation, en se gargarisant de mesurettes à court terme pour soutenir le pouvoir d’achat, sans regarder les difficultés des Françaises et des Français.
Ben oui, le gouvernement a mis en place un bouclier anti-inflation, maintenant on doit accepter sans broncher les augmentations annoncées sur l’énergie, le carburant, la taxe foncière, et les denrées alimentaires.
À nous de faire attention de maîtriser nos dépenses d’énergie, comme si on ne le faisait pas déjà.
Le carburant ? On invite les distributeurs à vendre à perte. Pour les grands groupes, pourtant gavés de dividendes, visiblement le message ne passe pas, mais pour les petits distributeurs, c’est évidemment impossible.
La taxe foncière ? Là, c’est de la faute des collectivités. Eh oui, elles ne subissent pas l’inflation, c’est bien connu. Elles n’ont pas à se plaindre de la disparition de la TH, elles perçoivent des compensations…bon d’accord, elles sont figées, mais elles n’ont qu’à chercher d’autres sources de financement. Ah OK, la TF, pas le choix.
Tiens au fait, où en est la taxation de la Taxe d’Urbanisme ?
L’alimentation, encore la faute des distributeurs, ils n’ont qu’à réduire leur marge.
Et si on parlait revalorisation des salaires ? l’État montre l’exemple, les fonctionnaires ont été augmentés. Et en plus, on leur verse une prime anti-inflation, de quoi se plaignent-ils ?
Tiens une piécette et tais-toi !
Et malgré tout ça, chaque politique pense à la prochaine présidentielle. Les loups aux dents de sabre et aux griffes acérées sortent du bois. Attention à eux, on a entendu parler d’un plan anti-loups. Ah non, celui-là sert à séduire les éleveurs. On réintroduit des loups et ensuite on les chasse.
On pense jeux olympiques, rien ne doit entraver Paris 2024. Cachez-moi ces bouquinistes que je ne saurai voir et délogez les étudiant·es!
On avait décalé la venue de Charles III, parce qu’il ne fallait pas non plus afficher trop de fastes alors que les Françaises et les Français manifestaient pour sauver leur retraite.
Ça y est maintenant, ils et elles ont avalé la pilule, on peut sortir la grande vaisselle, l’argenterie, les smokings et les robes longues, et en route pour Versailles.
On peut enfin évoquer les problèmes existentiels : impossible de porter des décorations sur un smoking, quelle galère ! C’est bête, les cuisines de l’Élysée sont en travaux, et Versailles ne peut contenir que 160 invité·es, encore une galère ! Pas facile de gouverner cette bande de gueux·ses !
La présentation des résultats de l’Observatoire interne 2023 met en avant le manque de motivation, le manque de valorisation et de reconnaissance du travail réalisé et enfin le stress qui augmente...
En 2022, le même constat ! Des plans d’action et quel constat ? On réitère, on prolonge ces mêmes plans d’action… Parce qu’ils ont fonctionné ?!
Ces résultats en berne, allez-vous en discuter, lors de votre tour du département spécial COM ?
Rappelons que la campagne GMBI a laissé des traces dans nombreux services et que la pression et le risque d’effondrement planent toujours avec un accueil s’accentuant.
Concernant le stress et les risques-psycho-sociaux, Solidaires Finances Publiques 62 a déposé une alerte fin juin et une autre en août sur un service particulier, nous attendons toujours que vous nous présentiez les mesures mises en œuvre.
Lors du CSA du 19 juin 2023 nous vous avons interrogé sur le nouveau fonctionnement des Comités Médicaux, que ce soit en termes de convocation des élu·es ou de récupération des dossiers médicaux pour défendre les agent·es.
Ce premier conseil médical a été compliqué à préparer en amont.
Nous avons constaté que pour obtenir les dossiers médicaux il fallait se rapprocher de la DREETS et non plus des RH locaux, et après de lourde démarches pour qu’ils acceptent de nous donner accès aux dossiers à une date et un horaire imposés.
Solidaires Finances Publiques revendique un accès plus large à la consultation des dossiers.
Rappelons-nous que le comité médical impacte de façon importante la vie des agent·es et ne doit pas être pris à la légère.
Solidaires Finances Publiques vous a demandé d’ajouter à l’ordre du jour un point sur les mouvements locaux. Nous pouvons que nous réjouir que vous ayez accédé à notre demande cependant il aurait été intéressant que ce point ait été inscrit à votre initiative.
Il apparaît tout de même que ce bilan semble incomplet, il s’agit certainement un oubli : pourquoi n’avons-nous toujours pas reçu le TAGERFIP au 1er septembre 2023 ! Pourquoi ne voyons-nous pas le motif des affectations d’office ? Pourquoi la raison qui vous a conduit à geler des postes n’est-elle pas indiquée ?
Solidaires Finances Publiques s’interroge également sur le choix du gel des postes qui semble parfois être décidé après l’exploitation des demandes des agent·es et avant la publication des mouvements.
Solidaires Finances Publiques n’a de cesse de vous interpeler sur la disparition des CAPL concernant les mouvements locaux, ce qui implique des réajustements après mouvement de certaines affectations sans publication rectificative.
Solidaires Finances Publiques vous a déjà alerté sur le manque de transparence qui implique forcément du stress, des inquiétudes et des interrogations des agent·es.
Nous pouvons vous rappeler votre réaction lorsque nous avons publié un GT sur le SDIF alors que vous ne souhaitiez pas en informer les collègues.
Vous nous aviez accusés de voleur et de lanceur d’alerte sans réelle raison.
Pourtant il y a quelques années, Monsieur le Président, vous prôniez la transparence, Solidaires Finances Publiques a compris depuis longtemps que votre transparence ne concernait ni une communication envers les OS ou envers les agent.es.
Où en est la création du SDIF ? les agent·es sont-ils heureux·euses de leur nouveau service ?
Lors de la démétropolisation plusieurs services devaient quitter la région parisienne pour s’installer en province à proximité de la gare.
Solidaires Finances Publiques vous avez interrogé sur l’installation du PNCD qui n’était pas proche de la gare et pas plus accessible PMR, mais réjouissons-nous les locaux disposent de toilettes handicapés.
Vous nous aviez indiqué que c’était provisoire que le bâtiment n’était pas encore sorti de terre mais qu’il le serait dans un avenir plus ou moins proche.
Nous apprenons maintenant que celui-ci sera transféré sur le site de Béthune, plus loin encore de la gare avec un parking déjà restreint.
Nous ne pouvons que constater que les actions relatives aux déménagements sont toujours trop rapides et surtout malheureusement plus rapides que les mesures en faveur de la sécurité des agent·es dont la mise en place devait être rapide.
En cette rentrée, Monsieur le Président, allez-vous enfin écouter et entendre les représentant·es du personnel.
Vous trouverez ci-dessous notre déclaration liminaire
Déclaration liminaire CDAS du 07 septembre 2023
Vous trouverez ci-dessous notre compte-rendu
compte-rendu CDAS du 7 septembre 2023
A l’ouverture de l’instance, un hommage est rendu par une minute de silence suite au décès en service de Christophe De Vliegher, douanier de 52 ans.
Après lecture des déclarations liminaires, Mme Ortiz, Présidente du CDAS, précise qu’elle participera à un séminaire des président·es de CSAL et CDAS, en compagnie de M. Girault. Elle fera remonter certains points comme la difficulté de fonctionnement de la délégation de l’action sociale dont l’effectif est réduit à une personne, la déléguée départementale.
Elle se dit impatiente de la mise en place de la réforme de l’action sociale, impliquant une plus grande régionalisation, qui devrait apporter une facilité de fonctionnement.
Solidaires Finances ne partage pas son optimisme et demande plus de moyens humains et financiers pour mieux répondre aux besoins des agent·es.
Lors de la Formation Spécialisée du CSAL du 30 juin dernier, la direction nous avait informé·es du remplacement du docteur Kerrache, médecin de prévention.
Le nouveau médecin n’étant pas diplômé en médecin de prévention, il ne peut préconiser des aménagements de poste, comme, par exemple, la mise en place ou le renouvellement de télétravail thérapeutique. Mme Ortiz a demandé au Secrétariat Général quelle solution pouvait être proposée et espère une réponse sous 8 jours.
Solidaires Finances rappelle l’importance de disposer d’une médecine de prévention à 100 % sur tout le département. Actuellement, le secteur de l’arrageois ne bénéficie d’un médecin que 2 jours par semaine. Le nouveau médecin recruté aura un temps de présence identique.
Nous demandons également la mise à jour des informations sur l’action sociale et la médecine de prévention sur Ulysse 62.
En ce qui concerne les difficultés liées à l’inflation, la direction locale estime qu’il s’agit d’un problème national.
Nous rappelons que l’action sociale locale doit pouvoir répondre aux difficultés subies par les agent·es du département et que l’inflation les aggrave.
Mme Ortiz partage notre analyse sur la nécessité d’adapter l’action sociale aux besoins.
Solidaires Finances s’interroge sur l’information donnée aux nouveaux·elles arrivant·es sur l’organisation d’une journée de cohésion à Olhain, financée sur le Fonds d’Initiative Local (FIL).
Le peu de succès rencontré par cette action nous interpelle.
Mme Régnier indique avoir informé les nouveaux·elles arrivant·es par mail et avoir évoqué cette action lors de la journée d’accueil.
Solidaires Finances insiste sur la nécessité de prendre en compte le quotient familial pour la tarification des actions sociales.
La réponse de la mixité sociale apportée par Mme Ortiz, soutenue par certaines organisations syndicales, ne nous satisfait pas. Nous rappelons qu’il est plus compliqué de participer aux sorties pour des agent·es actif·ives ou retraité·es aux ressources plus limitées.
La présidente admet la prise en compte du RFR pour l’attribution d’aides sociales uniquement….il faut croire que les plus démuni·es doivent choisir entre se divertir et se nourrir.
Nous espérons que le référent régional assistera à une prochaine instance pour évoquer ce sujet, les tarifs des sorties pour le département du Nord étant établis en fonction du RFR.
Solidaires Finances rappelle qu’un questionnaire devait être adressé aux bénéficiaires de l’action sociale pour connaître leurs attentes en la matière.
Mme Ortiz estime que le manque d’effectif de la délégation ne permet pas de dégager le temps nécessaire à la consultation des agent·es.
Solidaires Finances rappelle à toutes et tous que les membres du CDAS sont, avant tout, vos représentant·es et qu’il ne faut pas hésiter à leur transmettre vos attentes sur les orientations de l’action sociale.
Une formation des membres du CDAS devrait être mise en place. Actuellement, la direction n’a aucune information sur le sujet.
La restauration administrative
Mme Ortiz informe les membres du CDAS des difficultés rencontrées par l’association de gestion du restaurant administratif de Longuenesse.
Actuellement cette association n’a plus de président et ne peut plus fonctionner.
La fréquentation du restaurant administratif n’est pas suffisante. Le Secrétariat Général envisage sa fermeture si le nombre d’agent·es fréquentant le restaurant n’atteint pas au minimum 30 personnes (rationnaires), seuil en dessous duquel il n’est pas rentable.
Mme Ortiz précise que des tickets restaurant seront attribués aux agent·es de Longuenesse en compensation de la fermeture du restaurant pour la période antérieure au 3 avril. Il·elles n’en bénéficieront pas sur la période de fermeture entre le 16 mai et le 3 juillet, la demande ayant été déposée tardivement.
Solidaires Finances rappelle que le taux de fréquentation de la restauration collective est de 30 %. Le nombre d’agent·es sur le site de Longuenesse est inférieur à 100. Le seuil de 30 rationnaires finances fixé par le Secrétariat Général est trop ambitieux et sera très difficilement atteignable. Le développement du télétravail ne favorisant pas la restauration collective.
La restauration collective doit permettre de proposer des repas équilibrés à un prix raisonnable. L’administration doit favoriser la restauration collective, ces contraintes imposées à Longuenesse ne vont pas dans ce sens.
Solidaires Finances demande s’il n’est pas possible de passer des conventions avec des personnels extérieurs.
Mme Ortiz indique qu’une convention avait été passée mais n’avait pas amené de rationnaires supplémentaires. Le seuil de 30 personnes prend uniquement en compte les rationnaires finances.
Une fréquentation plus importante permettrait d’améliorer les repas proposés et, de ce fait, l’attractivité du restaurant administratif.
La fréquentation du restaurant administratif de Longuenesse est de 20 personnes actuellement.
Mme Ortiz s’interroge sur la possibilité d’organiser des formations à Longuenesse en délivrant des bons de fréquentation de la restauration administrative à l’exclusion de remboursement de frais de repas.
La période d’observation du Restaurant Administratif de Longuenesse finira le 31 mai.
À la demande de Solidaires Finances, Mme Ortiz précise que les remboursements de frais de repas sont réduits de moitié pour les stagiaires lorsqu’une formation est organisée sur un site doté d’une restauration collective.
Solidaires Finances renouvelle sa demande de groupes de travail réunissant les présidents d’associations de restauration et la délégation de l’action sociale afin de leur permettre d’échanger sur leurs problématiques et de se soutenir mutuellement. Les structures de restauration sont gérées par des associations de bénévoles et ont de grandes difficultés à obtenir des renseignements ou des réponses à leurs questions.
Solidaires Finances rappelle les difficultés du restaurant administratif de Béthune qui a du réorganiser l’association de gestion après le départ du Président et a vu le nombre de rationnaires extérieurs se réduire.
Mme Ortiz nous rassure en précisant que dans un délai inférieur à un an, le PNCD, structure de 40 agent·es, s’installera dans les locaux du CDFiP rue Guynemer à Béthune.
Les collègues du PNCD apprécieront d’obtenir cette information au détour d’une instance.
Compte-rendu d’activité 2022 de la délégation d’action sociale
En 2022, la délégation départementale d’action sociale se composait de la déléguée, assistée d’une vacataire, de deux assistantes de service social et de deux médecins de prévention, dont un à 40 %.
L’action sociale départementale concerne :
- 2265 actif·ives des administrations financières ;
- 1505 enfants ;
- 3097 retraité·es.
Le budget liquidé par l’action sociale représente près de 264 000 € sur :
- la restauration : 43,32 % ;
- l’arbre de Noël : 19,81 % ;
- les aides et prêts sociaux : 10,48 % ;
- les actions collectives (sorties inter-générationnelles) : 7,90 % ;
- la crèche : 5,76 % ;
- frais de fonctionnement : 5,33 % ;
- actions diverses (psychologue, avocat, chèque Kdo drive, théâtre d’intervention, coupons sport) : 3,08 % ;
- médical (fourniture de petit matériel) : 1,78 % ;
- Amitié finances (envoi de cartes de vœux et chocolats aux agent·es en arrêt maladie plus de 3 mois) : 5,33 % ;
- subventions séjours enfants : 0,83 % ;
- actions retraité·es : 0,42 %.
En 2022, les crédits d’action locale ont représenté 85 800 €.
Ont bénéficié de ces crédits :
- 1470 personnes pour l’arbre de Noël,
- 33 retraité·es pour la journée de préparation,
- 81 agent·es en arrêt-maladie ont reçu un colis,
- 143 enfants ont participé au concours de dessins,
- 662 participant·es aux 3 sorties soit 165 retraité·es, 340 actif·ives et 157 enfants,
- 63 subventions ont été accordées pour le permis de conduire,
- 12 agent·es ont été reçu·es par la psychologue,
- 6 agent·es ont bénéficié d’une consultation avec un·e avocat·e.
Les crédits alloués à la restauration ont été répartis comme suit :
- 75,17 % pour les subventions repas et l’aide aux petites structures de restauration,
- 21,70 % pour le matériel de restauration,
- 3,13 % pour le matériel dédié aux coins repas.
50 110 repas ont été délivrés dans les structures de restauration dont 32 977 subventionnés.
Quelques précisions :
Un nouveau marché passé avec une crèche a permis de diminuer les coûts puisque, dorénavant, seuls les berceaux occupés sont financés.
Les crédits alloués au matériel destiné aux coins repas sont insuffisants. La déléguée doit faire des choix et différer l’achat de matériel.
Les demandes correspondent souvent à l’équipement de coins repas des douanes. La DDFiP finance le matériel destiné à l’installation de nouveaux coins repas.
Solidaires Finances regrette l’absence de représentant·es de la DDDI (douane). La question du financement de matériel pour l’installation des coins repas aurait pu être posée.
Les chèques cadeaux destinés aux enfants ne sont pas utilisés en totalité. Les crédits correspondants sont reversés au budget de l’action sociale départementale.
Les membres du CDAS s’interrogent sur les raisons pour lesquelles ces chèques cadeaux ne sont pas utilisés. Il ne peut y avoir d’analyse des données, aucune réponse ne peut nous être donnée.
Pour Solidaires Finances, le compte-rendu d’activité de la délégation d’action sociale doit permettre d’affiner la répartition des dépenses. Le vieillissement de la population et la répartition des enfants par âge, montrant un nombre plus important d’adolescent·es doit nous conduire à orienter les dépenses dans ce sens.
Le Secrétariat Général demande aux assistantes de service social de réduire le nombre de visites sur site afin de diminuer les frais de déplacement.
Solidaires Finances rappelle qu’il est important pour les assistantes de service social et la déléguée à l’action sociale, de rencontrer les agent·es. Le fait de les connaître facilite le contact et encourage les sollicitations.
La direction propose de mettre en place des webinaires, éventuellement sur la pause méridienne, pour présenter les possibilités d’intervention de l’action sociale.
Solidaires Finances rappelle que les agent·es doivent pouvoir s’informer sur le temps de travail et bénéficier de temps de déconnexion. La pause méridienne est consacrée à la déconnexion et au repas.
Rapport d’activité 2022 des consultations psychologue sur Boulogne-sur-Mer
Les crédits d’action sociale financent les interventions de Mme Duchemin, psychologue à Boulogne-sur-Mer, intervenant sur le secteur côtier.
En 2022, 44 consultations ont été financées. 32 rendez-vous ont été pris par 12 agent·es.
Les situations évoquées concernent des souffrances physiques et psychologiques (fatigue, stress, épuisement physique et psychologique, conflits de valeurs…).
La psychologue est intervenue dans le cadre d’une sollicitation suite à un événement grave. Des groupes de parole et des consultations individuelles ont été mis en place.
Le rapport de la psychologue met en évidence les difficultés liées à l’organisation des rendez-vous sur le site de Boulogne-sur-Mer : les agent·es peuvent se croiser entre deux rendez-vous ou rencontrer des collègues dans le couloir.
Aucune solution ne peut être proposée pour permettre une plus grande discrétion.
Nouvelles prestations de l’action sociale ministérielle
Le Chèque famille finances, délivré sous la forme de Chèque Emploi Service Universel (CESU), est entièrement pré-financé par le MEFSIN. Il permet de régler des dépenses de garde d’enfants ou de soutien scolaire.
Le bénéfice du Chèque famille finances est ouvert à partir de 6 ans jusqu’à 14 ans ou 17 ans révolus pour les familles monoparentales et les enfants porteurs de handicap.
L’agent·e doit avoir la charge effective de l’enfant.
L’octroi du Chèque famille finances est soumis à conditions de ressources.
Le Chèque Sport Finances est une nouvelle prestation sous la forme d’un chèque permettant de régler les dépenses liées aux activités physiques et sportives.
Il peut bénéficier aux enfants de 12 à 17 ans révolus dont l’agent·e a la charge effective.
Il est soumis à conditions de ressources.
Solidaires Finances regrette la mise en place tardive de ces nouvelles prestations. Les limites d’âge du Chèque Sport Finances ne sont pas acceptables. La pratique des sports est recommandée dès 6 ans et ne s’arrête pas aux 18 ans des enfants.
Point d’étape sur les crédits d’actions locales 2023 et le Fonds d’Innovation Locale
Arbre de Noël : 55 274 €
Amitié finances : 2 010 €
Journée d’information des nouveaux·elles retraité·es : 2 010 €
Psychologue : 2 090 €
Actions de prévention en collaboration avec la MGEFi : 81,48 €
Avocats : 900 € (concerne Arras, Boulogne et St Omer)
Chèques Kdo drive : 5 600 €
Sorties familles et retraité·es : 11 335 €
Prochaine sortie : la Mer de Sable les 23 et 30 septembre.
Actuellement 393 personnes sont inscrites. Le budget prévu permettait l’inscription de 500 personnes. Cette sortie est proposée sans transport.
Le solde du budget est de 5 369,25 €.
Les dépenses envisagées sont :
- porter la dépense pour le goûter des enfants lors du spectacle de fin d’année à 6 € au lieu de 5,
- augmenter le budget pour l’acquisition de boîtes de chocolats pour les agent·es en arrêt maladie de plus de 3 mois à 20 € au lieu de 15,
- organiser d’une sortie au marché de Noël d’AMIENS le samedi 16 décembre 2023 à 5 € par personne avec transport en autocar.
Fonds d’Innovation Locale :
148 inscrit·es le 14/05,
62 inscrit·es le 04/06,
81 inscrit·es le 10/09, une vingtaine se sont désisté·es.
1 400 € n’ont pas été utilisés sur le budget prévu initialement.
Informations diverses
L’assistante de service social, Céline Leleux sera dorénavant à 80 %.
Sylvie Niellini prendra en charge 6 agent·es du Ministère de la Culture.
Patricia Régnier, correspondante sociale, adressera à tou·tes les agent·es une information sur un challenge marche du 12 au 24 septembre.
Solidaires Finances Publiques fait partie de l'Union Syndicale Solidaires et, à ce titre, s'inscrit dans une organisation interprofessionnelle qui nous permet de bénéficier de structures, de formation et de participer à des actions qui dépasse le cadre de la DGFiP.
L’organisme de formation de Solidaires est le CEFI Solidaires (Centre d’études et de Formation Interprofessionnel)
L’intérêt de la formation interprofessionnelle locale, au plus près des adhérent·es, est de créer du lien localement, et en articulation avec la formation des organisations professionnelles.
Le Cefi Solidaires Aisne/Pas-de-Calais/Somme organise des actions de formations auxquelles peuvent participer les adhérent·es des organisations syndicales membres de Union syndicale Solidaires.
N'hésitez pas à consulter le calendrier ci-dessous, à suivre les liens pour vous renseigner et/ou à nous contacter plus d'informations.
Participer à des actions de formation syndicale est un droit. Les formations interprofessionnelles nous permettent également de rencontrer des personnes partageant notre vision syndicale et revendicative et confrontées à d'autres problématiques que les nôtres.
A bientôt,
Solidairement,
Le bureau de section Solidaires Finances Publiques 62
Calendrier_Formation_2e_semestre_2023.pdf
Page 20 sur 153