Actualités

Pour rappel, l'assemblée générale de la section Solidaires Finances Publiques de l'Aude aura lieu le lundi 4 octobre à Limoux.

Une autorisation d'absence est accordée à tout agent désirant se rendre à une assemblée générale : dans SIRHIUS,
    Type de Motif : Fonctions syndicales, mutualistes, électives et représentatives
    Motif :
Assemblée générale syndicale adhérents


Pour vous inscrire pour le repas de midi, merci de nous transmettre le coupon-réponse joint (de préférence avant le lundi 27 septembre).

 

pdfinvitation_AG_4_octobre.pdf

Afin de s'opposer à la mise en place des opérations prévues par le DDFiP en 2022 dans le cadre du soi-disant "Nouveau Réseau de Proximité", Solidaires et la CGT Finances Publiques ont organisé, au nom de l'intersyndicale audoise, une conférence de presse.
Vous trouverez joint l'article paru en page 2 de l'Indépendant le 19 septembre accompagné du droit de réponse du DDFIP : celui-ci consiste en des assertions robotisées et pavloviennes, soit une compilation des éléments de langage les plus convenus et éculés transmis par la DGFiP pour justifier suppressions de missions, de postes et de services.
À titre d'exemple, le conseiller aux décideurs locaux du secteur de Peyriac-Minervois (dont les agent(e)s viennent à peine de rejoindre leur nouvelle affectation au Service de Gestion Comptable de Carcassonne du fait de l'imprévoyance de nos édiles qui ont omis de prévoir la réalisation des travaux alors même que la suppression de la trésorerie est actée depuis octobre...2020 !) a vu son "portefeuille" de communes attribué à d'autres conseillers du fait de la disparition prochaine de son poste...
À peine mis en œuvre le schéma censé assurer un "service de meilleure qualité", cette mesure vient confirmer qu'il s'agit de pure propagande.
Quant à l'antenne de Quillan, maintenue grâce à la lutte des agent(e)s, des élu(e)s et des usagers, un accueil caisse demeure du fait qu'aucun buraliste n'a pu être conventionné dans le secteur.
Pourtant, ces derniers percevront 1,50€ HT par opération d'encaissement pour le compte des Finances Publiques, soit grosso modo, l'équivalent de l'indemnité journalière généreusement attribuée aux caissiers des Finances Publiques, aujourd'hui en voie de disparition.
Aussi, afin de s'opposer à ces mesures toxiques pour notre Administration,  l'intersyndicale organisera des rassemblements devant les trésoreries menacées, soit Leucate (le mardi 21 septembre à partir de 11H30) et Durban-Corbières (le mardi 28 septembre à partir de 11H30).
Puis, comme dans l'ensemble des départements, des assises des Finances Publiques seront réunies afin de déterminer la place du service public des Finances dans chaque canton, associant élu(e)s locaux et nationaux, représentants d'usagers et des agent(e)s des Finances Publiques.

 

pdfarticle_lIndépendant_19_septembre_2021.pdf

La mise en place du « passe sanitaire » à marche forcée entraîne l’obligation vaccinale pour un certain nombre de professions.
Les soignant(e)s bien sûr, mais également les pompiers, les ambulanciers mais incompréhensiblement pas les policiers…
Aux Finances Publiques, cette obligation s’impose depuis le 15 septembre à l’ensemble des personnels travaillant dans une trésorerie hospitalière située dans l’enceinte d’un hôpital. Aussi, les agent(e)s devront présenter à leur chef(fe) de service des données aussi intimes que la preuve d’une vaccination, un test positif de moins de 72 heures ou un certificat médical de contre-indication à la vaccination... À compter du 15 octobre, seule une vaccination contre la COVID-19 permettra à l’agent(e) d’exercer ses fonctions.

Il est aujourd’hui de bon ton de prétendre que les politiques suivies sont inéluctables, qu’aucune alternative n’existerait et que les gouvernants sont contraints de suivre des politiques mortifères aux seules fins de permettre des lendemains qui chanteront (à très long terme évidemment).

Rien n’est pourtant moins sûr : nous ne sommes pas obligé(e)s par un pseudo-réalisme de subir des mesures destructrices de la santé des êtres humains et menaçant de faire disparaître toute vie humaine sur Terre dans un avenir désormais proche.

C’est ce qu’essaie de démontrer le collectif « Plus jamais ça » auquel Solidaires adhère en compagnie d’autres syndicats (CGT, FSU, Confédération Paysanne) et d’une dizaine d’ONG (dont Greenpeace, Oxfam, ATTAC ou Droit au Logement).

Vous trouverez joint un document élaboré par cette plate-forme intitulé « Propositions pour un plan de rupture ».

Y sont listées 36 mesures pouvant immédiatement être mises en œuvre et qui sont susceptibles de changer durablement la vie de la population en répondant aux urgences sociales et environnementales.

Il y a donc bien de véritables alternatives crédibles et théorisées : à chacune et chacun de se les approprier et d’en assurer la diffusion la plus large possible.

 pdfplan_de_rupture_2021.pdf