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Après quasiment un an de boycott du CTL en raison de notre opposition radicale à la destruction du réseau de la DDFiP et de l'absence de volonté de la direction de «négocier», Solidaires a décidé de siéger ce 18 février pour tester le directeur. En introduction, nous avons évoqué le conflit déterminé et historiquement long contre leprojet de retraite par point, l'importance de la fiscalité et de la lutte contre les fraudes pour une meilleure répartition des richesses, ainsi que nos propositions pour un financement plus juste de la protection sociale.

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Contrairement aux habitudes de son prédécesseur, c'est le DDFIP en personne qui nous a «honoré»de sa présence pour présider ce CHS-CT.En préambule M Anouliès nous a annoncé que le site de DAX était fermé suite à des problèmes defuites d'eau et que les agents avaient été renvoyés chez eux en autorisation d'absence. La situationétait sous contrôle, les plombiers étaient là (ils étaient déjà là le vendredi, puis le week-end... sanssuccès). Tous les agents?... Non, car certains n'ont pas eu le même niveau d'information par leur chefde service, donc pas d'ordre d'évacuation...

pdfcr_chsct_10022020-1-3.pdf

A 48 heures du dimanche 8 mars, journée internationale de lutte des droits des femmes, après-midi et soirée « On ne lâchera rien ».

- 15h, manifestation, départ des Arènes (côté stade)

- 17h30, Salle Amélie Charrière, présentation du projet Macron et débat : "La retraite par points : Une réforme de régression sociale et une idéologie dangereuse. Les femmes : la moitié de la population la plus impactée !"

- A partir de19H30, pot de la solidarité, repas (axoa) et concert avec les "Raoul Brothers".

Cette mobilisation est proposée par les unions départementales et fédérations interprofessionnelles landaises CGT - FO - FSU - SOLIDAIRES

pdfLANDES_TRACT_INTERSYNDICAL_6_mars_2020.pdf

 

Monsieur le président du CTL,

A celles et ceux qui clament que la mobilisation contre le projet de retraites par point s’essouffle, les actions, mobilisations et journées de grève ne peuvent que démontrer le contraire. Si la grève n’est pas générale ni reconductible, cela ne signifie pas que le mouvement touche à sa fin comme voudrait le faire croire le pouvoir.

Au contraire, il est en train de prendre de nouvelles formes et de s’étendre de nombreuses façons, dont la seule limite est l’imagination des personnes mobilisées. Rarement avons-nous vu en France autant de formes d’expressions si variées, dynamiques, festives et combatives : flashmobs, chorégraphie, retraites aux flambeaux, chants militants qui deviennent des hymnes à la résistance, actions de rue où l’inventivité rivalise avec l’humour : sabres laser en plastique pour défier les tristes forces de l’ordre, tournées du Macron Circus, pancartes, affiches et collages, débarquement impromptus dans des buffets du Medef etc.