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Une audioconférence ministérielle s'est tenue aujourd'hui sous la houlette d'O. DUSSOPT. Voici les éléments du jour :

Stade actuel de la crise

Pour le Ministère, nous sommes sur la voie de la « normalisation »...
Les derniers relevés montrent un taux de présentiel à 40 % dans le Ministère. 28,5 % sont sous le régime du télétravail et le reste en ASA. Il est bien précisé que Bercy n'est pas du tout hostile au télétravail.
La priorité absolue est et reste le respect des conditions sanitaires.

Afin de commencer à tirer les enseignements de la gestion de crise, il est fait recours à un prestataire privé (deux sociétés en binôme) pour auditer notamment les conditions de la reprise. Une présentation de la démarche sera faite aux OS en fin de semaine et ces dernières seront auditées par les prestataires.

Autres annonces à la volée ...

  • Le principe de l'ASA pour les personnes vulnérables est rappelé
    En cas d'agent vivant avec une personne vulnérable, un arrêt de travail par le médecin traitant est possible dans les conditions du droit commun
  • Pour la question de la garde d'enfants, à compter du 2 juin, une attestation de l'école est nécessaire. Celle-ci permet de bénéficier d'une ASA
  • Il est rappelé que le jour de carence est suspendu durant toute la durée de l'état d'urgence sanitaire. Donc, en principe, il sera réintroduit le 11 juillet, sauf prolongation du dit état
  • S'agissant du fonctionnement du CET, ce dernier pourra accueillir le reliquat des jours 2019, ainsi que ceux de 2020. Le plafond est porté de 60 à 70 jours
  • En ce qui concerne les congés bonifiés (campagne reportée, pas reportée …), la discussion se fait entre la Fonction Publique et l'Outre-mer. A ce stade, la campagne est maintenue. Mais, compte tenu d'éventuelles quatorzaines dans certains territoires et de l'incertitude sur les liaisons aériennes, l'agent concerné a une sorte de droit au report

Pour SOLIDAIRES FINANCES, le constat est patent : la crise n'est pas terminée. Nous notons d'ailleurs quelques signes de reprise des cas de contamination. C'est évidemment un signe avertisseur.

Solidaires Finances Publiques 44 vous accompagne dans vos demande de mutations.

De nouvelles règles ! De nouveaux Reculs ! Nous serons toujours là pour vous !

 

Afin de vous aider dans vos demandes,

nous organisons des permanences Mutations (en présentiel et par téléphone) :

Vendredi 5 juin :

  • St Nazaire (téléphone et présentiel au bureau 102) : toute la journée au 02.40.00.44.43
  • Nantes (Téléphone) : l'après -midi au 02.51.12.87.09

Lundi 8 juin (toute la journée en présentiel et au téléphone) :

  • St Nazaire (bureau 102 et au 02.40.00.44.43)
  • Nantes (local Solidaires et au 02.51.12.87.09)

Mardi 9 juin (toute la journée en présentiel et au téléphone) :

  • St Nazaire (bureau 102 et au 02.40.00.44.43)
  • Nantes (local Solidaires et au 02.51.12.87.09)

Quelle que soit votre situation (télétravail, présentiel, arrivants, déjà en Loire Atlantique),

N'hésitez pas à nous contacter

En cas d'affluence vous pouvez nous envoyer un courriel à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

CI-après, le lien vers Ulysse 44 et les infos de la direction

Comment dire….Encore des réponses incomplètes, des réponses négatives, voire pas de réponse du tout.

Une chose est sûre, nous sommes bien sur la pente d’un retour rapide à la normale. Tout dépendra des annonces qui seront faites demain jeudi 28 par le Premier Ministre. Mais la tonalité des propos du DG atteste véritablement de la manière dont va se décliner la deuxième phase de dé-confinement à la DGFiP. Le nombre d’agent•es en présentiel augmente régulièrement, mais ce n’est pas alarmant selon la DG, dans la mesure où les consignes sanitaires notamment de distanciation physique sont respectées. Il y a aussi fort à parier que l’accueil des publics va monter en puissance, d’une manière ou d’une autre (sur rendez-vous ou pas).
A la question de savoir si l’afflux d’agent•es revenant, in situ, après de longues semaines de confinement forcé, ajouté à celui, éventuel, d’usagers en nombre dans les services, allait permettre de maintenir cette distanciation…..Le DG a fait preuve comme à son habitude d’un optimisme béat.

Depuis le début de la crise sanitaire, ce gouvernement sans grande surprise en a profité pour réduire les acquis sociaux des salarié.es du privé comme du public à travers plusieurs ordonnances : temps de travail, congés, jours ARTT.

Alors que dans le secteur privé, des accords de branche devront être préalablement « négociés » pour que ces reculs sociaux trouvent à s’appliquer, concernant la fonction publique nos ministres ont tout décidé et décrétés seuls sans la moindre forme de dialogue social : le gouvernement préférant tout régler par ordonnance. Les ministres des administrations financières ainsi que notre Direction Générale semblent vouloir nous faire payer chèrement la facture de la crise sanitaire tout en tentant de laisser croire qu’ils agissent avec bienveillance !