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Continuons le début !

C'est ainsi que notre regretté Coluche avait détourné le traditionnel slogan de manifestation.

Certes, à peine plus d'un agent sur 5 en grève à la DDFiP48, ça ne fait pas lourd....

Mais à y regarder de plus près, il est possible d'y trouver des raisons de ne pas désespérer :

  • c'est bien plus que le taux national calculé provisoirement à 14,19 %
  • la Lozère se classe parmi les 25 directions les plus mobilisées
  • la catégorie B se situe à 26,53 % et les C se sont mobilisés à 42,86 %
  • si on retranche les A+ (0 gréviste sur 26 devant être présents) et les A (1 gréviste sur 21 devant être présents), ça nous fait 28 grévistes sur 89 devant être présents et on arrive à 31,5 % !!!

 Désolé d’attaquer aussi frontalement, mais il faut se dire les choses : rien ne va plus à la DDFiP48 !

Bien entendu, le discours officiel ne pourra jamais être aussi alarmiste, il ne faudrait pas que notre direction se fasse remarquer défavorablement !

Et quoiqu’on fasse, ça ne pourra plus aller mieux car tout est fait pour nous désorganiser, nous individualiser, nous contractualiser voire, demain, nous privatiser.

En ce moment, les SIP sont sous les feux de la rampe, enfin, traditionnellement, à cette période, ils sont sous les feux de la rampe...

Mobilisations DGFiP, interpro pour l’emploi,

les services publics et contre la précarité

Le 4 février, après des appels sectoriels dans la santé-sociale, l’éducation, l’énergie, l’intersyndicale interpro CGT, FSU, Solidaires, FIDL, MNL, UNEF, UNL appelle à l’action.
La DGFiP, plus que jamais en période de crise sanitaire, se retrouve au coeur des revendications pour l’emploi, les services publics et contre la précarité.
Le plan du gouvernement, loin de s’intéresser aux premiers concernés par cette crise qui se surajoute aux crises économiques, sociales et écologiques, favorise comme d’habitude les grosses entreprises et les plus fortunés.

Comité Technique Local de la DDFiP de la Lozère

Réunion du 12 janvier 2021

Madame la présidente,

Des événements récents ont démontré que la gestion des ressources humaines n’était pas une matière à prendre à la légère, qu’un bon nombre de ses règles ne s’improvisent pas car elles sont directement issues du statut de la fonction publique et des négociations avec les partenaires sociaux, et qu’en ce qui concerne la DDFiP de la Lozère, il conviendrait peut-être de lui redonner la place qu’elle mérite.