Actualités
Jusqu'à 10 jours de congés en moins...et une prime de la discorde...
Entre autres...
Faudra-t-il se mettre en grève pour une société plus juste et plus sociale ?
SOLIDAIRES Finances Publiques 62 même dans cette période est toujours prêt au combat contre les régressions sociales et contre les coups de rabot inaccessible !
Mais ce sont chacune et chacun d'entre nous, le bras armé de ces luttes !
Parce que nos conjoint·es, nos enfants, nos proches, nos ami·es ne sont pas toutes et tous des agent·es des Finances Publiques, notre Union syndicale interprofessionnelle SOLIDAIRES, a mis en place depuis le 30 mars, un numéro vert d’appui syndical : 0 805 37 21 34.
Vous trouverez ci-dessous le lien pour signer la pétition
« plus jamais çà, signons pour le Jour d’Après »
https://solidaires.org/Petition-PlusJamaisCa-signons-PourLeJourDapres
Solidaires Finances Publiques 62 reste en contact,
reste mobilisé avec les secteurs interprofessionnels,
notamment avec SUD SANTE SOCIAUX (vous trouverez notre tract commun)
Vous pouvez également retrouver les publications de notre Union Département SOLIDAIRES Pas-de-Calais
https://www.facebook.com/Union-syndicale-Solidaires-Pas-de-Calais-873959259396443/
Plus que jamais, SOLIDAIRES !
N’hésitez pas à nous contacter !
L’audio-conférence entre la direction et les OS a eu lieu ce jeudi 9 avril.
Vous trouverez notre déclaration liminaire envoyée en amont de celle-ci:
déclaration liminaire audio-conférence 9 avril
Vous trouverez également ci-dessous notre compte-rendu.
compte-rendu audio-conférence 9 avril
Solidaires Finances Publiques 62 a envoyé en début de matinée une « déclaration liminaire » avant cette audio-conférence, M. GIRAULT n’a pas répondu à celle-ci.
Bien que la période soit au confinement pour veiller à la santé de toutes et tous, nous n’oublions pas les attaques subies.
A ce jour, pour la DDFiP 62, 4 cas suspectés de covid 19 et 2 agents en quatorzaine.
Solidaires Finances Publiques 62 souhaite un prompt rétablissement à nos collègues.
C'est très faible dans la mesure où il y a eu des périodes avec 19 cas.
M. Girault attribue ce nombre au respect d'une organisation de travail et à un effort collectif.
Suspecterait-il les agents d'avoir été malades pour ne pas avoir respecté les mesures barrières ?
Un truc de Préfet sans doute....
Une note de la DG sur le nettoyage des locaux est attendue.
Ne pas s’isoler !
Nous vivons actuellement une situation sanitaire difficile et notre administration se retrouve très perturbée.
Un Plan de Continuation de l'Activité (PCA) définit des missions prioritaires afin d'assurer un Service Public minimum.
Au départ, ce PCA prenait principalement en compte les difficultés prévisibles des entreprises et permettait d'assurer les relations avec les publics. Rapidement, la liste des missions prioritaires s'est allongée et le nombre d'agent·es présent·es sur les sites a progressé.
Le télétravail est préconisé pour permettre à un maximum d'agent·es d'exercer leurs missions tout en respectant le confinement, mais le déploiement du matériel est compliqué et toutes les applications ne sont pas accessibles à distance.
Il ne faut pas oublier que le mot d'ordre est le confinement le plus complet possible.
De nombreux·ses agent·es assurent la scolarité de leurs enfants à domicile et ce n'est pas une tâche facile.
D'autres sont appelé·es à rester chez eux pour protéger des proches plus fragiles ou malades, ou parce que leur état de santé les rend plus vulnérables.
Pour un grand nombre d'agent·es dont les missions n'ont pas, à ce jour, été désignées comme prioritaires, il n'y a pas d'autre choix que de rester à la maison.
Ce ne sont pas des vacances, les déplacements sont strictement encadrés par un décret.
Chaque agent·e est potentiellement un renfort et peut être appelé·e à exercer des missions du PCA.
Certain·es ont été appelé·es à participer à des missions qui ne leur seraient pas attribuées en temps normal, et ont répondu présent·es.
Certaines missions prioritaires ne peuvent être exercées à distance et des agent·es doivent continuer à se déplacer sur nos sites pour les assurer.
Ils·elles ne sont pas forcément rassuré·es puisqu'ils·elles sont conscient·es du risque potentiel de contamination au virus qu'ils·elles courent en se déplaçant hors de leur domicile.
Ils·elles respectent des gestes barrières qu'ils·elles ont intégrés très rapidement et ont considérablement changé leur méthode de travail et leurs habitudes pour se protéger eux et leurs collègues.
On parle beaucoup en ce moment de héros du quotidien, infirmier·ères, caissier·ères, éboueur·euses, mais plus rarement, voire jamais, d'agent·es des finances publiques. Nous y sommes tous habitué·es, les habitudes ont la vie dure, et malgré tous les services que nous rendons au quotidien, il ne faut pas attendre de remerciements médiatiques.
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