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RDV jeudi 23 mars à 10H30 place de Catalogne
- blocage du dépôt de carburant de Port la Nouvelle,
- manifestations devant les lycées (sans blocage des candidats au Bac)
JEUDI 23 IL FAUT ÊTRE DES MILLIONS DANS LA RUE...
LE COMBAT CONTINUE,
ON NE LÂCHE RIEN !!!
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Ce jeudi 9 mars, 200 manifestants de l'intersyndicale 66 ont bloqué les 25 voies de circulation de l'A9 à la barrière de péage du Boulou à partir de 7h45. Plus de 9 kms de bouchons pour matérialiser une France à l'arrêt avant d'être délogés par les forces de l'ordre à 10h30, l'objectif est atteint !
On ne lâche rien !
Retrouvons-nous ce samedi 11 mars, 10h30 place Catalogne, encore plus massivement dans la rue pour faire reculer ce gouvernement et pour dire non à cette réforme injuste et brutale !
On en parle dans la presse :
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Hier, mardi 7 mars 2023, en amont de la manifestation, les agents des Finances Publiques des PO en grève (39,25%) ont bloqué la Direction de 7h00 à 10h30, avant de partir rejoindre le cortège interprofessionnel contre la réforme des retraites qui a réuni près de 30 000 personnes dans les rues de Perpignan.
Les personnels réunis en assemblée générale ont décidé de reconduire la grève la semaine prochaine autour de l'appel national (calendrier et action restants à préciser).
L'appel à participer et à s'inscrire dans toutes les actions proposées par l'interprofessionnelle des PO, dans le but de maintenir la pression sur le gouvernement et pour le retrait de la réforme, a été lancé par l'intersyndicale DGFiP 66.
Nous vous invitons donc à y prendre part par tous les moyens et sous toutes les formes que ce soient, dès aujourd'hui.
Ce 8 mars, journée de lutte pour les droits des femmes, nous participerons à toutes les actions pour exiger l'égalité des droits entre les femmes et les hommes, pour exiger le retrait de ce projet mortifère pour tous et plus encore pour les femmes.
Rappel des actions à venir :
- mercredi 8 mars : 17h00 au Medef, 18h00 au Castillet, de 19h30 jusqu'à 22h00 à l'ancienne gare.
- jeudi 9 mars : à partir de 7h00 au Boulou, blocage de la frontière.
Nous appelons également les agents de la DGFIP à participer massivement à la nouvelle journée interprofessionelle du samedi 11 mars et à être encore plus massivement dans la rue pour faire reculer le gouvernement. Nous pouvons gagner !
Toutes et tous mobilisés et dans l'action jusqu'au retrait total du projet de réforme des retraites !
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Cela fait déjà de nombreux mois que les représentants des personnels tirent le signal d'alarme sur ce service, et sur les agissements de la cheffe de service, sans que la direction de la DDFIP 66 n'y apporte de réponse efficace.
Un droit d'alerte a été déposé le 28 octobre 2022.
droit d'alerte - SIP Réart.pdf
L'enquête administrative a été menée par le biais d'entretiens individuels et s'est terminée le 5 décembre 2022.
La synthèse anonymisée de ces entretiens ainsi que le plan d'actions de la direction devaient être transmis avant le début des vacances de Noël. Visiblement, pour la DDFIP 66, ces vacances ont commencé le 17 février 2023, date à laquelle nous avons reçu ces documents... Et ce, malgré de multiples relances...
À l’issue de l’enquête menée par la Direction des PO et au regard des propositions de cette dernière afin de mettre fin aux faits évoqués dans le droit d’alerte concernant le SIP Réart, les organisations syndicales émettent unanimement un vote CONTRE le plan d’action proposé.
Plusieurs raisons motivent ce positionnement :
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Nous avons rappelé que ce droit d’alerte n’est pas tombé d’un coup. Il faisait suite à un nombre important d’audiences et de signalements à la direction concernant des rapports conflictuels d’un nombre plus que significatifs d’agents avec la cheffe de service. Le droit d’alerte a été déposé suite à plusieurs congés maladies et personnes en détresse liés directement au management.
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Même si l’on peut reconnaître que certaines propositions seraient de nature à améliorer la situation au sein du SIP Réart, les délais d’application et de réalisation desdites mesures (pour certaines à 7 mois et sans aucune garantie) laissent les agents « maltraités » dans une situation plus qu’inconfortable et ne permettent pas de répondre à l’urgence de la situation (au regard des multiples arrêts maladies notamment). Concrètement, un cadre A qui s’occupait du recouvrement serait en charge de l’assiette à 100 %, sauf que ce cadre A part prochainement en retraite. De même un poste d’adjoint A+ serait crée en plus, mais la direction annonce qu’il ne serait pas pourvu avant la mi-mai...
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Aucune explication ou recommandation claire n’est faite quant à l’attitude « autoritariste » et défaillante sur le plan relationnel et organisationnel relevée de la cheffe de service du SIP Réart, qui apparaît pourtant dans le rapport d’enquête comme l’un des principaux facteurs de stress chez de nombreux agents au sein de ce service. Ce positionnent fait ressortir un sentiment « d’impunité » en faveur de la Cheffe de service qui met les agents fragilisés par ces rapports tendus extrêmement mal à l’aise.
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Rien n’est prévu par rapport aux prochains entretiens d’évaluation.
Un droit d’alerte répond à une situation d’urgence et se doit d’être traité en urgence afin de lever des problématiques qui ne pourraient que s’aggraver dans le temps. 4 mois pour transmettre un plan d’action et 7 mois de plus pour la mise en œuvre de certaines actions... ce n’est pas entendable !
Et pour couronner le tout, malgré le fait que tous les agents du SIP Réart aient signalé l’impact néfaste du manque d’effectifs (- 7 agents) au sein du service, la Direction a acté, en plein droit d’alerte, la suppression pure et simple de 3 postes… c’est encore moins compréhensible !
Les Organisations Syndicales signataires du Droit d’Alerte se positionnent donc contre le Plan d’Action proposé par la DDFIP des Pyrénées-Orientales.
Une réunion avec l'Inspecteur Santé et Sécurité au Travail (ISST) est prévue ce jeudi 2 mars. Il intervient en tant que médiateur sur le sujet. En cas de désaccord persistant sur les mesures permettant de lever le droit d'alerte, le dossier sera transmis à l'inspection du travail.
Dans l'état actuel de la situation, il est déplorable pour la direction locale de minimiser l'impact des conditions de vie au travail dégradées sur la santé des agents. Il est également indamissible de laisser pourrir une situation anxiogène dans la sphère professionnelle.
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