La loi d’urgence sanitaire votée par le Parlement comporte un certain nombre de dispositions.
Parmi elles figure l’article 7 qui prévoit « de modifier les conditions d’acquisition de congés payés et permettre à tout employeur d’imposer ou de modifier unilatéralement les dates de prise d’une partie des congés payés dans la limite de six jours ouvrables, des jours de réduction du temps de travail et des jours de repos affectés sur le compte épargne‑temps du salarié, en dérogeant aux délais de prévenance et aux modalités d’utilisation définis au livre Ier de la troisième partie du Code du travail, les conventions et accords collectifs ainsi que par le statut général de la fonction publique ». Et « en même temps », le gouvernement n’a pas empêché les entreprises de procéder à des licenciements. L'idéologie demeure, les "mesures de ruptures" annoncées par Emmanuel Macron attendront...