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Le 10 septembre 2025, 10.45% des agent.e.s de la DDFIP du Val d'oise devant être présent.e.s et 3.81% des télétravailleurs étaient en grève. 

Le taux national s'élèvait à 9,02 % (6 109 grévistes), 82 structures sur 1357 étaient fermées au public.

Le 18 septembre 2025, c'étaient  16.17% des agent.e.s de la DDFIP du Val du Val'Oise devant être présents dans les services et 6.52% des télétravailleurs qui étaient en grève.

Le taux national s'élèvait à 12,71 % (9 177 grévistes), 100 structures ont été fermées au public.

Depuis le 10 septembre, et ce partout sur le territoire national, des milliers de personnes sont descendues dans la rue et des mobilisations se sont organisées pour crier haut et fort leurs revendications pour une justice sociale, fiscale et environnementale.

Lors de l'entretien avec l'intersyndicale ce 24 septembre, Lecornu n'a apporté aucune réponse et maintenant c'est le patronat qui se "rebiffe" pour garder ses privilèges et continuer à se gaver de milliards de subventions sans aucune contrepartie!

Et nous, on doit dire merci à toutes ces mesures d'austérité qui nous appauvrissent ? : suppression de la GIPA, gel du point d'indice depuis 2010, perte de pouvoir d’achat indirectes générées par le doublement des montants et du plafond annuel des franchises médicales et des participations forfaitaires, ou le gel des dépenses d’aides sociales...

NON! Le combat continue! On ne doit rien lâcher! La mobilisation continue!

 

PAS D ECONOMIE SUR NOS VIES

 

 

stop au sacrifices

 

 

 

RDV TOUTES ET TOUS LE 2 OCTOBRE 2025

PLACE D'ITALIE 14H

CAPTURE GREVE DU 210

 

 

 

 

Après la chute du gouvernement Bayrou, la nomination de Sébastien Lecornu comme premier ministre est un message clair pour la majorité de la population : rien ne changera sur le fond ! Avec ce choix, Emmanuel Macron refuse une nouvelle fois d’entendre la colère sociale qui s’exprime depuis plusieurs semaines.

Le 10 septembre a été une très belle première journée où, sur l’ensemble du territoire, par l’action, les blocages, les rassemblements et la grève, de très nombreux et nombreuses salarié·es, précaires, retraité·es, jeunes ont fait entendre leurs revendications pour que la justice fiscale, sociale et environnementale soit enfin au centre du futur budget 2026. Et les agentes et agents des Finances publiques étaient également partout sur le territoire pour se faire entendre.

Le budget 2026 ne doit pas être celui de l’austérité. Pour Solidaires Finances Publiques, il est temps de renforcer les services publics, notamment celui de la DGFiP, pour que nous puissions exercer l’ensemble de nos missions partout sur le territoire. Nous refusons de subir à nouveau ces suppressions de postes qui viennent, années après années, dégrader nos conditions de travail. Nous refusons de payer les conséquences d’un budget d’austérité injuste. Nous exigeons le dégel du point d’indice, le retour de la GIPA, la revalorisation de nos rémunérations, des moyens humains et matériels suffisants pour pouvoir continuer à exercer nos missions de service public dans de meilleures conditions.

Le 18 septembre, l’intersyndicale interprofessionnelle appelle l’ensemble des salarié·es, des fonctionnaires à être massivement en grève et dans les manifestations. Cette journée sera importante pour faire entendre encore plus fort nos revendications et imposer d’autres choix. Refusons la résignation et entrons dans l’action.

Toutes et tous en grève le 18 septembre à la DGFiP

comme partout ailleurs !

Pas d’économies sur nos vies !

RDV à 14h à la Place de la Bastille sur Paris

TRACT grève du 18 septembre